Avant, l’amour était déjà objet de désir de réseautage social. Plus ou moins dialoguant selon préférence pour coups foudroyants ou tirades à la Cyrano, et gratuit selon qu’on était du genre timide à le dire avec des fleurs, ou plutôt carte VIP, hôtel bling et pâtes aux truffes.
Avant, il suffisait globalement de connaitre les horaires de ciné, de disposer plus ou moins provisoirement d’un lieu plus ou moins horizontal genre sol de grotte, canapé du salon ou bagnoles des dvieux, et de savoir compter les jours, pour faire affaire sans trop de risques de MST graves ou pires.
Avant les nouvelles technologies de communication pour agacer les parents en twittant à table et se faire remarquer dans la cour de récré avec un mini iPad si on n’a pas l’âge de sortir le soir, ou s’occuper contre la tapisserie si on n’a pas la technique pour draguer les filles en surboum, puis en boite, enfin en thé dansant (en « rave », c’est encore autre chose), et autres innovations sociétales, les fondamentaux étaient simples.
Avant, ça pouvait être un poil angoissant la première fois, mais avec un peu d’habitude, même les garçons les plus empotés finissaient par devenir d’honnêtes pères (paires ?) de famille(s) capables d’honorer régulièrement, sinon fidèlement, leur(s) compagne(s) légitime(s), sinon légale(s) selon toutes les traditions locales, de procréer naturellement sans perdre trop de temps en tests ADN ou régimes sans sel, et de continuer à voter à gauche jusqu’à l’âge des Rolex, des Audi et du Viagra (dans les pays vraiment arriérés et/ou réfractaire à la réclame des vendeurs de pharmacopée plus hightech, on préfère trucider les derniers tigres, éléphants, requins ou autres biodiversitudes pour sniffer la poudre de leur pénis séché, ça peut choquer les bobos pervers bas de gamme et autres sportifs amateurs pas habitués à la coke ou autres dopants délicieusement illégaux pour pas trop pauvres, mais de là à faire des manifs ou des réferendums pour un truc qui concerne d’autres gens loin des yeux, du coeur, des corps et du décor de boboland en saison froide …), avec ou sans divorce(s).
Tout marchait à peu près dans un désordre amoureux ni trop grand, ni trop petit, juste proportionné et vigoureux comme il fallait.
Tout ça marchait avec humour et bandes dessinées comme dans les bons journaux (mâtin, quel amour !), rendez-vous à des terrasses de cafés, fleurs coupées, visites de musées ou de salle de ciné comme dans les films de Woody, et week-ends à Deauville pour les amateurs de cinéma français manquant d’imagination mais pouvant s’offrir une heure de bonheur à deux aux machines à sous entre la promenade sur les planches, la crèpe au sucre ou la gaufre au chocolat, et le café avec vue sur la mer (l’amer ?).
Le binz tournait sans trop de « couacs », avec plus ou moins de propension pour le mariage pour tous selon les lieux et les moments (mamans ?), de tentation pour la vie en communauté selon les modes et les époques (épiques ?), d’attirance pour la polygamie selon les moyens et la santé (la polyandrie est restée exceptionnelle, aussi techniquement et sociétalement ballot que cela puisse sembler à n’importe quel être humain rationnel au neurone pas offert à la science ou au Parti, pas contraint par les discours de son dirigeant religieux temporel, manipulé par les croyances de son gourou socio-politique ou inspiré par les éléments de langage de son leader maximo, incidemment tous barbus, malgré l’invention du rasoir pas trop jetable ou stupidement polluant, et de la pierre à aiguiser il y a un bon moment déjà), et toussa touça genre amour du cuir, goût du gang-banguisme, fantasmes échangistes et autres formes d’amour plus ou moins courtois. Tout était à peu près globalement positif, sinon normal, et vice-versa, même si certains pacifistes, babas cools, et autres hippies (sans lit ?) faisaient parfois du bruit, voire plus, dans la rue au lieu de bosser ou de faire la guerre comme tous les vrais hommes, les vrais qui ne passent pas leur vie aux défilés de mode ou dans les boutiques d’autobronzant.
Et puis, ça s’est compliqué, pas seulement parce qu’on s’est aperçu qu’il y avait un lien entre l’amour et la procréation, ce dont certains esprits éclairés se doutaient bien depuis qu’ils avaient étudié la vie sexuelle des roses et des choux, disséqué quelques cigognes, et regardé par la serrure de la chambre de leurs parents les nuits de pleine lune (honni soit qui penserait « pleines lunes »), et que certaines maladies de l’amour libre (libertin, c’est autre chose, et il y a pour l’instant présomption d’innocence, sinon d’irresponsabilité, d’autant que les gens qui ont le brevet des collèges, voire bac+5 et plus, connaissent l’utilité du caoutchouc disponible dans tous les bons WC publics et moins cher qu’un café en front-stage) étaient plus mortelles que l’ennui de la vie de couple bourgeois.
Pas seulement parce que les gens ont cessé d’aller à la messe (et même arrêté d’aller chez Ikea) le dimanche, même si les cléricaux, les anticléricaux et tous les autres qui sont allés à la #manifpourtous ou à la #manifcontretous diront que s’ils ne savent pas pourquoi ils sont aller battre le pavé sans bien savoir pourquoi et avec qui ou contre quoi, et vice-versa, les dignitaires, zélotes et militants de toutes obédiences et chapelles le savent sûrement mieux que les citoyens normalement républicains, les contribuables strictement démocrates et autres électeurs neutres (hors saison des amours électorales) vis à vis des luttes communautaristes à visage sociétal, tant que les combats d’arrière ou d’avant-garde ne sont pas trop instrumentalisés, que la France ne se ridiculise pas plus devant les journalistes TV du monde entier que quand elle perd une guerre ou rate une libération d’otage à terre ou en mer (pourtant, la Somalie, depuis Rimbaud on sait que c’est un coin compliqué, et depuis Fachoda on devrait avoir compris que l’Est de africain (non, pas l’Est d’Eden), ce n’est pas la Françafrique, n’en déplaise aux nostalgiques des bars de Tana et aux anciens membres des club de golf d’Aden), qu’il n’y a pas mort d’homme (ou d’une certaine idée de l’homme en France ou de l’histoire de France ou de l’homme dans l’histoire de France ou de l’homme entré dans l’histoire ou de l’histoire entrant dans l’homme, ou vice-versa, en tout cas c’est compliqué) et/ou qu’on ne brûle pas leur bagnole dans la rue.
Avec la mode des cheveux trop longs là où ils ne servent à rien, de l’épilation des poils là où ils évitaient la transpiration à tous avant qu’on invente le déodorant (polluant toujours et cancérigène souvent, au demeurant) pour tous les consommateurs, la mousse à raser anti-ozone en flacons suggestifs pour toutes les colocataires, et les vibromasseurs à 5 lames antipelliculaires et antiredéposition pour tous les téléspectateurs avec ou sans radicaux libres et option GPS en couleur qui parle, les zoms et les fams des pays où on n’a rien d’autre à faire que de manifester à la Bastille le dimanche ou de twittliter des éléments de langage pendant les heures qui étaient de bureau avant qu’on abolisse le travail normal, ont (re)commencé à se chercher des poux dans les têtes.
Il faut bien dire que, depuis qu’on a inventé la télé pour tous avec de la publicité par tous les temps pour des supermarchés, des séries pour faciliter le dialogue social, et de la musique avec images qui bougent même pas au niveau du bruit des ascenseurs plus ou moins sociaux, la qualité de l’amour pour tous n’est plus ce qu’elle était (« c’est sûr », « clair », « franchement ») chez les ados plus ou moins précoces ou retardés de tous âges.
Et depuis qu’on a inventé la télé en couleur pour tous tout le temps (et Millenium autorisé à partir de 12 ans sur une chaine « normale » aux heures dites « de grande écoute » sans concurrence face à des séries B et films Z chez les chaines pour les autres pendant que Montebourg s’auto-carricaturait avec amour masturbatoire de mouches sur l’autre chaine), l’amour, c’est devenu comme le ski pour tout le monde qui a une bagnole diesel pour polluer la montagne en studio en temps partagé ou chalet défiscalisant, comme les vacances pour même les consommateurs, payants ou pas, du Grand Journal de Canal sponsorisé par le Maroc qui ne peuvent pas se payer de ballets roses en bord de piscine chic, et comme les Rolex depuis que n’importe quel électeur pas assez minable pour se contenter de 5000 par mois peut s’en payer une avant la cinquantaine, un peu inélégant, voire franchement vulgaire.
Depuis qu’on a choisi comme jingle du 20 heures le cours et la tendance du chômage du jour sur le marché français et l’angoisse du lendemain qui déchante pour tous ceux qui ne sont pas fonctionnaires, protégés ou employés sur un malentendu, un piston ou une convention de stage avec rémunération d’un pourcentage du SMIC, en France, plus personne n’a le temps, ni la motivation, pour le sexe avec amour (ou même juste entre amis comme dans les films contemporains et les romans d’avant, entre inconnus comme dans les vidéo-clips du siècle d’avant et les publicités de maintenant pour parfums et autres indispensableries pour doper son pouvoir de séduction en gaspillant son pouvoir d’achat, ou entre collègues de bureau comme avant l’invention des mini sex toys télécommandés silencieux qui permettent de moins s’ennuyer en réunion si on n’a pas de iBerry (ou si le wifi ne marche pas) ou si on a des voisins un peu cafteurs, péniblement concurrents, voire hiérarchiquement nuisibles), même les couples « normaux ».
Même les sportifs, politiciens (élection, érection, même combat ? mêmes cons bas ?) et autres oisifs professionnels sont débordés entre les briefings d’avant match, élection ou défilé de mode, avec leurs avocats, lobbyistes et communicants, et les rdv d’après saison, élection ou récréation, avec leurs conseillers fiscaux, et peuvent à peine se permettre leur 5 à 7 quotidien ou leur troisième mi-temps tout le temps (et maintenant, avec les 35 heures et leurs options, ceux qui ont encore provisoirement un boulot plus ou moins utile mais donnant droit à payer les tickets de ciné à taux plein bossent 70 heures payées 39, ceux qui n’en ont pas encore ou déjà plus et ne touchent pas de retraite passent 70 heures à chercher sur internet, chez Pôle ou dans les journaux spécialisés le taf disparu #InRealLife, alors inutile de se demander si les gens « normaux » sont concernés), surtout depuis qu’on peut être critiqué à la TV pour ça même si on fréquente les bons dîners en ville et si on a des avocats sachant comment être « vus à la télé ».
Un moment, grosso modo quand le Minitel rose a décollé, on a pensé, non pas que la France tirerait sérieusement … son épingle du jeu, parce qu’entre Concorde et les avions renifleurs, on avait déjà compris que le mythe du brillant Frenchie viril « à la OSS 117 » auquel rien ne résistait avait pris un gros coup de plomb dans l’aile et avait peu de chance de revenir au premier plan à la saison des Bernard (HL, Tapie, Arnault …) comme du temps de la jeunesses de Jean-Paul (Sartre, Belmondo, et même Gaultier …) qui faisaient chavirer les coeurs du monde entier sans chéquier, que les nouvelles technos de communication, les messageries, les réseaux sociaux, touça-toussa ranimeraient la flamme.
Mais ça aussi, ça s’est avéré assez vite décevant, même dans les cercles de geeks VIP à iPad avec rabat cuir pour parties fines (wi-fines ? ouïe fine ? grandes oreilles ?) en hôtels plus ou moins particuliers mais toujours avec piscine et 3G (point 3G ?) dont l’avenir politique et les voyantes professionnelles, ou vice-versa, ont disparu.
Et ça a fait long feu, après quelques étincelles parfois, dans les milieux plus « normaux ».
Maintenant, si on n’est pas particulièrement émoustillé par les affiches dans le métro parisien pour des « rencontres extraconjugales discrètes entre 100% de membres (oh ! le joli freudisme) dans le même état d’esprit (esprit, es-tu là ?) », excité par les publicité à la télé pour « le 1er site pour célibataires exigeants avec sélection à l’entrée pour des rencontres de qualité », alléché par les SMS et autres coins d’écrans proposant des romance sérieuses et des relations durables, ou en pré-extase à l’idée de « voir plus grand pour vos rencontres » comme c’est proposé avant et après les flashs d’information, les bulletins météos et les journaux sportifs sur les médias qui font de l’audimat, on peut tenter le speed dating du week-end #InRealLife, aux soldes dans les magasins de décoration d’intérieur (les librairies, c’est bien si on aime les intellos d’un sexe, l’autre ou whatever works, mais on risque de devoir discuter longtemps avant de pêcho ; quant aux boutiques de fringues, c’est quand même un peu embarrassant de zoner au rayon soutien-gorges si on n’est pas trop concerné personnellement, et on à assez peu de chance de pêcho des filles, ou whatever works selon ses goûts et couleurs, en essayant un jeans pour pré-quinqua ne faisant pas assez sport et mangeant un peu trop, dans les travées parce que les cabines sont fermées pour cause de plan vigipirate) et/ou aux #manifpourlesuns contre ceux là si on y trouve un collectif en accord avec ses moeurs et ses convictions plus ou moins fortes, aux #manifcontrelesautres avec ceux-ci si on sait où sont les courants sympathisants mais pas de moeurs excluantes ou trop en désaccord avec ses éventuelles convictions, ou aux #manifcontretout si Mélenchon n’est pas en lutte au Vénézuéla, que les protestationnistes moins hystériques ne sont pas en mode « wait & see » au cas où un maroquin serait possible sur un malentendu au remaniement, et s’il ne pleut pas à la Bastille (sinon, il y a sûrement des gens qui aiment draguer aux marges des FN et autres mouvements de râleurs de droites pas casés à l’UMP ou émigré dans un des centres droits attrape-tous, mais il faudrait consulter internet pour savoir où sont les endroits pour ça), mais ça vaut quand même le coup de tenter la drague sur internet si on manque de chaussures chaudes bien imperméables, si on a le dos un peu usé ou si la copropriété chauffe les apparts à donf, auquel cas ce serait ballot d’aller se geler les bonbons dans le métro où le wifi est aux abonnés absents dans la moitié des stations pour, au mieux sautiller sur Boney M, Dalida ou les Village People avec les djeuns et moins djeuns de la gay pride ou de la fierté Barjot selon qu’on est dimanche pair (bon pères ?) pour tous ou impair (ou alors « une paire » ?) des autres, au pire payer un diabolo-menthe au prix d’une bouteille de Bordeaux pour regarder les touristes et les professionnel(le)s (se) croiser devant les boutiques à trucs flottant entre l’obscène stupidement inabordable et l’économiquement pornographique en solde, en espérant que l’âme soeur se posera à la table d’à côté avant que le garçon n’exige qu’on paye une nouvelle conso au prix d’un petit repas pour deux en province, et commandera un lait fraise, un thé ou un café plutôt qu’un Picon-Bière ou une « coupe », à l’heure où les fauves honnêtes pas trop retirés des voitures boivent sans alcool (et pas le truc le plus cher de la terrasse comme à la plage de St Trop’, au resto de Courch’ ou à la boite tendance en ville, par routine d’enfant gâté et/ou pour tester l’épaisseur du cuir du portefeuille et confirmer la capacité du quidam à payer la passe dans un hôtel filant des commissions aux apporteurs/ses d’affaires et ne dénonçant pas les clients pour un « oui » un peu trop libertin, pour un « non » mal entendu ou sur un simple malentendu interculturel).
Ceci twitté, la drague sur facebook ou Twitter, ça demande un peu d’instinct, en plus de la technique pour pêcho en 140 caractères, de la capacité à taper sur les touches de 2 millimètres carrés de l’iPhone sans trop s’énerver avec des doigts de 10 cm de long, et de la résistance au décalage horaire si on draguouille genre au Japon ou en Californie tant qu’à être dans le cloud, parce que le plus souvent, 20/20 c’est le nombre de kilos en plus que sur la photo (quand ce n’est pas un avatar) et d’années de plus que dans le profil (quand ce n’est pas un robot rabatteur vers les sites marchands de celles-ci ou ceux-là), et un puis de l’humour, parce que sinon, c’est comme regarder les émissions de télé-vente de tout et n’importe quoi le matin plutôt que de taffer (ou de faire dsport), ou de laisser la chaine TV des parlementaires français allumée après Bibliothèque Médicis, genre à l’heure de la sieste en France où ils passent les questions au gouvernement (#QAG sur Twitter) ou des sessions de questions-réponses de commissions en replay, ça peut être salement dépressivant si on n’est pas fou d’amour pour la présentatrice, le démonstrateur d’aspirateurs à vapeur ou un(e) parlementaire (tous les goûts sont dans la nature et tolérables avec assez d’humour et un peu d’amour, mais entre les OGM, Fukushima et les chaines d’information continue, tout ça a bien muté depuis le temps des poètes comme Reiser et de l’amour peut-être un peu fou, mais #InRealLife).
Bref, il fallait marquer le coup pour célébrer, non pas un petit cinquantenaire de crise, non pas un maigre centenaire comme presque tout le monde né ce siècle le deviendra sauf accident, pas même un demi-millénaire de rien du tout comme pour cette guerre entre la France et l’Angleterre qui ne se joue sur le terrain de rugby que quand vraiment toutes les autres options et positions sont épuisées, et quand même pas encore le millième parce qu’on n’est qu’au début de cette année (byzeway, il est tout juste encore temps de souhaiter une bonne année 2013 : http://bonneannee2013.wordpress.com/), mais le 750ème billet du blog « Café du matin à Paris » écrit avec autant d’amour que la météo et l’agenda le permettent (et un peu d’humour quand le temps s’y prête), et exprimer une sympathie sincère, voire un début de tendresse aux nettement plus de 250 000 visites de passant(e)s (sans souci ?) sur le blog ( http://www.facebook.com/cafe.renaud ) et ses annexes :
- de Noël pour les petits (et les autres) : http://joyeuxnoel2012.wordpress.com/
- du temps qui va et vient pour tous : http://bonneannee2013.wordpress.com/
- citoyenne pour les citoyens (ou pas) : http://occupyvousdefrance.wordpress.com/
- business pour les maniaco-compétitifs : http://madeinfrance2012.wordpress.com/
- littéraire, pour les amateurs de e-lectures : http://cestalire.wordpress.com/
- et, pour vrais pervers, en globish English : http://bestcoffeeinparis.wordpress.com/
Renaud Favier – 25 janvier 2013 – Café du matin à Paris
PS : « C’est l’histoire d’un amour … qui apporte chaque jour … les matins merveilleux … c’est l’histoire d’un amour … qui ne finira jamais … » alors les histoires de mariage, consentants ou pas, de guerres de religions, consentantes ou pas, et toussa-touça …
PPS : bien entendu, il y a des liens vers des histoires et/ou chansons d’amour en cliquant sur la quasi totalité des images, mais si on est trop pressé, ou pas intéressé par le sujet, ou si on est très conventionnel, on peut aussi célébrer Louis de Funès, devenu invisible il y a 30 ans.
PPPS : et si on aime danser avec humour sans se faire de noeuds aux cerveaux sur qui devrait aimer qui, ou pas …
PPPPS : mais tout a une fin, si possible avec une chanson, de préférence d’amour (d’humour ?), c’est comme ça.
A reblogué ceci sur I like fish'n'chips and commented:
♀ vs ♂, mode d’emploi : un article pointu
L’activité physique, le temps que l’on s’accorde, les petits voyages et la façon dont on prend soin de soi sont la clé du de la forme sans médicaments.