Courage à Valérie Trierweiler (@valtrier) qui est enfin débarrassée de son Twittos tristus, et dont l’humour (l’amour ?) finira par être compris, même par le petit François Hollande (@fhollande) que sa prétention de vieux Tanguy sur-diplômé en cocufiage public mais sous-doué confondant communiqué de presse et communication a empêché de saisir le double sens de « personnel » (petit personnel ?) et ses groupies et autres ex qui croient essentiel de louer sa grandeur sur les écrans et de tracter ses éléments de langage sur les marchés de Paris jusqu’en Poitou-Charente en espérant glaner un petit mandat pour une place au soleil avec siège en cuir le moins éjectable possible, un gros privilège offert par les tribuables pas encore ruinés, nichés ou exilés, et/ou un grand appartement social(site) dans un bon quartier de Paris quand Chevènement, la Barjot et tant d’autres petits Tanguys de la République seront enfin virés après les municipales et la fin de la trève d’hiver.

Crédits : Placide

Courage à Valérie Trierweiler, qui ne méritait probablement pas de jouer la faire-valoir désintéressée (?) d’un petit gros chauve binoclard mal fringué, Tanguy de la République à l’humour de copie de Corrézien moins petit, et au talent de mauvais replayer de François … Mitterrand vieux singeant le dîner de c… .

C’est qui ta prochaine invitée au dîner de conne avec dessert au pieu et petit déjeuner au lit, maintenant ?

Courage à Valérie Trierweiler, qui domestiquera peut-être un jour son esprit libre, et comprendra que si on peut vouloir croire au Père Noël, mieux vaut savoir que c’est une ordure (surtout à Paris).

Elle est (relativement) libre, maintenant, de faire, penser et twitter ce qu’elle voudra sans bénédiction préalable du commissaire politique Arditi, nihil obstat de DJ Harlem de Solferino et accord écrit de Manuel et Vincent contresigné par Najat et Marisol, et de partir en vacances où, quand, et avec qui elle voudra. C’est le tenancier de la baraque de plage d’en bas du fort de Brégançon (obligé de dégager conformément aux exigence de l’ex, sussure-t’on en ville parmi les gens qui s’intéressent encore aux plages de la Côte d’Azur alors que tout le demi-monde a une villa en Ré au nom d’une société au Bermudes pour l’été et une piscine à Marrakech déclarée comme résidence fiscale principale, pour l’hiver, maintenant) qui va être soulagé que le petit gros ait pêcho une nana plus sexy pour les voyeurs et (é)lecteurs de la presse peoplitique.

Mais que peut faire l’ex, maintenant, de sa liberté de twitter (de penser ?) enfin retrouvée ?

Rien, une retraite en province avec cumul de privilèges du Parti, comme l’ex d’avant ?

Rien, de longues vacances de luxe avec un peu de sport, comme l’ex de Cecilia Sarkozy ?

Rien, glousser sur un plateau TV de jambes croisées, comme l’autre ex-journaliste ?

Rien, quelques conférences et des cours à Marrakech, comme l’ex d’Anne Sinclair ?

Rien, de la politique française pour l’argent de poche du petit personnel, comme Bernie ?

Sinon, bosser comme Hillary Clinton, Gérard Depardieu ou tous les gens normaux qui n’ont pas la chance d’avoir un statut de haut fonctionnaire ou le doit acquis aux traitement socialiste de la misère avec le fighting spirit pour la France et le « female power », et le sabre au clair contre tous les « petits riens », les communicants ternes et autres politiciens pas très bandant ? Pourquoi pas ?

Parce que rien, à la longue, c’est ennuyeux, surtout quand on a presque été presque tout (enfin, en France, il ne faut rien exagérer, parce que champion de France, ce n’est pas grand chose, maintenant, même le PSG et le PS y arrivent), même avec un peu de caritatif « à la Diana » sponsorisé par des partenaires « privés » (mais ni désintéressés, ni libres) genre Air France. Et puis twitter sans rien faire, même avec un peu de sexe en ville entre deux voyages en classe luxe (même si les plateaux-repas ne sont plus ce qu’ils étaient d’après le délicieux Jack Lang qui s’y connait en plateaux, en repas gratuits, et en avant -en derrières murmurent ceux qui savent mais ne parlent pas, et criaillent ceux qui ne savent pas mais aiment faire les malins dans les cocktail face caméra comme Luc Ferry-), ça fait grossir, il n’y a qu’à regarder comment le petit Hollande (re)devient bouffi, maintenant qu’il ne (re)fait rien en se baladant partout avec sa valise électorale entre deux 5 à 7.

Crédits : Ysope

What else ?

Renaud Favier – 26 janvier 2014 – Facebook Café du matin à Paris – LinkedIn

Bonne Année 2014, du cheval de bois ou whatever works, particulièrement à Valérie Trierweiler, mais je ne le répéterai bientôt plus aux têtes de bois qui n’ont pas encore visité ma e-carte de voeux de cette année.

Restons cool ces temps compliqués, et bon tout vers un avenir serein sous le soleil.

Bonus : François, qu’as-tu en tête ? http://www.youtube.com/watch?v=F2rz6kO2yzs

Bonus 2 : Valérie, qu’en penses-tu ? http://www.youtube.com/watch?v=fuAS8xtL6Bs

Bonus 3 : Ces familles recomposées … http://www.youtube.com/watch?v=DLqbonZ_hBk

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PS : Il faudrait qu’ils/elles se détendent un peu, eux-tous, maintenant que le choc de cocu-clarification a fait son coming-out … http://www.youtube.com/watch?v=YenKO5ps_Kk

PS 2 : Il faudrait qu’ils/elles aillent (se) faire ce(lles et ceux) dont ils/elles ont envie, plutôt que faire l’amour à l’AFP au téléphone http://www.youtube.com/watch?v=uZ-su2dKvG0

http://www.youtube.com/watch?v=uZ-su2dKvG0

PS 3 : L’essentiel, c’est que les malades d’envie de démonstration de puissance qui nous gouvernent n’aient aucun complexe … http://www.youtube.com/watch?v=EAz3tkI6k2Q

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