Y’en a, des mots qui peuvent choquer si on ne sait pas (é)lire (parfois c’est entre, voire derrière, dessus, ou sous les lignes, voire ailleurs, que ça se passe) quand ça dépasse les bornes (bornés ?) du twit, et si on ne lit que la page écrite par le gourou qu’on préfère du seul livre qu’on a ouvert depuis qu’on a appris un alphabet (tiens, y’a « alpha » et « bête » là-dedans) pour clavier (vous croyez que c’est par hasard qu’on a donné au truc pour relier le neurone des twittos à l’écran pour supporters le nom du l’intermilitant du spectacle (exilé fiscal, au demeurant) loser en chef des Bronzés ?).
Y’en a, des images moins toc que ce qu’on aime se faire enfiler par l’écran grave-baveux (en bref, graveleux ?), comme on aime bien avaler n’importe quel truc mou sucré (honni qui à la même chose que les autres y pense, d’autant que le cochon, c’est péché dans à peu près tous les clubs de morales) facile à digérer avant retour à l’envoyeur.
Mais y’a pas seulement que ça, et ça ne se raconte pas, toussa-touça, ça se déguste tranquillement (d’autant plus que c’est gratuit, à volonté, et servi avec plaisir et le sourire sans supplément) …
Calmement, sans impatience inutile, sans s’énerver pour rien, les filles …
Sans ronchonner par routine, sans secouer le menton par réflexe de vieux, guys …
Sans se faire de noeuds entre les oreilles, sans tricoter des synapses, les gars …
Keep cool, cats, inutile de se fâcher tout rouge parce qu’on n’aime pas la même musique, d’autant que personne n’est obligé(e) de cliquer sur les images pour mettre le son …
On dit que le silence est d’or, mais le café noir avec du bon son bien fort, c’est meilleur.
Renaud Favier – 22 mai 2014