Sous les barreaux, rue Barrault, entre des poubelles et rien de bien plus poétique de l’autre côté qu’on ne voit pas mais on ne rate rien de mieux, sur les pavés (Paris Plages ?) au soleil de la Butte, un café suspendu emprunté, partagé au vol par beau temps.
Santé (pas la prison, un gorgeon) !
Renaud Favier – 17 juin 2014
PS : pour goûter un bon millier d’autres cafés (gratuits, of course, et pouaitiques, sinon à quoi ça servirait, une tasse ?) en attente, c’est en cliquant là (ou sur la tasse qui attend, bien entendu) que ça se passe http://cestalire.wordpress.com/2014/01/21/un-e-cafe-suspendu-au-hasard/