Le Street-Art, c’est comme le Net-Land-Art et les autres formes de pouaisie de maintenant, ça ne peut que suggérer beautés mortelles et amours encore ou toujours interdites ,avec ou sans gloires, plages torrides d’intentions glissantes sous pavés glaçants, et/ou (dans le) vice-versa.
Epicékomsa !
Renaud Favier – 26 juin 2014
PS : pas de panique(s), pas d’impatience(s), yapadlézar, j’arriverai bien à placer « La Brute aux Cailles » dans une rime sur le Street-Art à Paris, un de ces quatre avant qu’on n’ait plus le droit de cloper dans la rue (déjà que c’est borderline de se jeter un demi en pouaitant au soleil).