Je ne suis guère passionné par les histoire de la Trierweiler, sa photo à Tulle, sa visite au potager de la Maison Blanche en Air François One, ses twits anti-Ségolène ou sa disgrâce, mais les commentateurs de ses petits faits (fesses ?) et écrits (cris ?) de souris me font sourire.
Quant-à Zemmour, il commente l’actualité parisienne « à la de Funès en mode gendarme« , en tandem avec un(e) faire-valoir plus ou moins drôle, mais son bouquin sur le suicide de la France se vend encore plus comme des petits pains (dans la g… ?) que le Trierweiler sur Hollande.
Maintenant, quelqu’un s’apprête sûrement, sans hâte, avec respect comme on ouvre une BD sombre genre Maus, à publier (ou lire, ou écrire) un troisième opus de l’Histoire non censurée de Paris dans le monde de maintenant, avec autant d’amour et humour qu’encore (im)possible.
Je crains que toutes ces histoires de France et de désamour ne finissent pas moins mal les unes que les autres (nôtres ?), voire franchement pas très bien.
Renaud Favier – 9 octobre 2014
PS : Zemmour est un commentateur TV de droite lucide qui a le niveau Bac+4 ou 5 et (d)écrit ce que tout le monde sait (ou devrait savoir sous peine de privation du droit de vote avec obligation de repasser le Bac pour pouvoir revoter) sur la France de maintenant et demain avec des phrases plus courtes et simples que celles d’Attali (et/ou ses nègres) ou autres imprécateurs d’une vieille gloire à la dérive, faut pas non plus crier au génie ; Trierweiler est une femme journaliste qui a écrit un bouquin sur un peopl(itiqu)e avec lequel elle a couché, avant, mais c’était avant, basta cosi, personne n’en ferait un plat si elle avait fait un film Youtube comme un simple coupeur de tête, mais ça ferait le buzz pareil.