Le calendrier de l’Avent est un truc de saison qui donne le sourire comme les cadeaux dans de chouettes papiers de toutes les couleurs, le sapin (même d’élevage made in Pologne ou Danemark, même artificiel made in China ou pire avec ou sans guirlande nucléaire chantante intégrée), les chants (même en allemand), les feux de cheminée (ouverte, l’insert c’est un truc de bureaucrates imposé aux bobos, même une fausse cheminée à alcool pour parigots a plus d’âme que le feu en conserve) et la crèche (même en aquarium pour la protéger du chat), qu’on considère dans l’ordre des choses dans les familles où on emmène encore les mômes voir des (vrais, genre Bambi et les Aristochats, pas les daubasses de maintenant) Walt Disney au ciné pendant les vacances de Noël et les grands-parents à une pièce de théâtre de boulevard en mâtinée pendant la trêve des confiseurs, où l’on fait au moins un repas de famille avec un bon plat au four qui sent bon dans toute la maison et des friandises maisons à la pâte d’amande avant la Saint-Sylvestre, et où quelqu’un de sympa se dévoue pour se déguiser en Père Noël pour amuser les petits et grands enfants.

Non, le Père Noël n’est pas qu’une ordure, cliquer pour vérifier

Il y a des calendriers de l’Avent pour tous les goûts, chacun trouve chaussure à son pied …

Certains sont pointus et hors codes classiques (honni qui place Vendôme y pense) …

Certains font rondement l’affaire …

D’autres sont carrément oldschool …

D’autres encore sont à l’évidence faits « maison » avec amour et minutie …

Il y en a de solides qu’on se transmet de génération en génération …

De symboliques qui rappellent les petits trains (trains-trains ?) d’antan …

De plus ésotériques, mais néanmoins gastronomiques …

De précis …

De méthodiques …

D’humoristiques …

De pratiques …

Et même des pour les buveuses de thé.

Noël oldschool, c’est magique (et il suffit de cliquer sur Joyeux Noël pour en profiter).

Renaud Favier – 1er décembre 2014