Ne disons jamais : « On ne sa(v)it pas », parce qu’on a beau se boucher les oreilles, fermer les yeux et tourner le nez dans la direction qu’on veut, l’odeur de la vérité et le bruit des atrocités ne sont jamais si discrets qu’on puisse dire : « Je ne sa(v)is pas » (ni « Je n’y peux, n’y pouvais rien ») https://renaudfavier.com/2013/01/27/27-janvier-commemorer-etou-lutter-pour-un-monde-meilleur-chacun-fait-comme-il-veut/
N’oublions jamais https://renaudfavier.com/2011/01/27/on-ne-savait-pas-ben-voyons/
Reno – 27 janvier 2015
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