En fait, du moment que les gosses arrivant au niveau du bac de Français savent à peu près lire (comprendre, c’est otchoz) un twit tchatché en franglais de cuisine et écrire (sans fôtes, faut pas dreamer) un post facebook torché en globbish pour sabotés du bulbe, on s’en contrebat les rognons que 99,999% de l’humanité considère plus important pour trouver du boulot (lire se faire un max de blé avec un minimum de taf, en trafiquant la drogue ou les kaklaches en banlieue si on n’arrive pas à faire de la politique professionnelle -ne dites surtout pas à vos proches que c’est votre métier, ils demanderaient le divorce et/ou la déchéance de liens familiaux et/ou amicaux et ils auraient bien raison-, du proxénétisme -honni qui très fort « c’est pareil » y pense- ou de la télévision -honni les ceusses qui assourdissamment « c’est encore plus pire- y pensent) d’aller voir Debbouze au ciné plutôt qu’en cours d’initiation au Latin en 6ème.
Et vae victis, morituri te salutant, fluctuat et mergitur, et toussa-touça du moment que les gamins ont au moins assez d’humour pour se moquer des adultes qui font enlever les cigarettes de Lucky-Luke, les gens de couleur de Tintin, et les taquineries d’Astérix sur les Corses et autres paresseux plus ou moins francophones (francophiles, c’est encore une autre paire de manches, et franchement, comment pourrait-on aimer le(s) Français de maintenant capables d’élire Sarkozy et Hollande, de voter pour les fronts des refus stériles, ou de cracher en masse tant sur leur droit de vote que sur l’avenir de leurs gamins ?).
Non ?
Reno – 28 avril 2015