Avant, début 2015, on voyait beaucoup Houellebecq, et on (lui le premier) en blablatait encore plus.
Ensuite, Zemmour a été le gusse pour ou contre le livre et la personne duquel il était de bon ton de s’indigner sur les plateaux TV et autour des tables de salons en ville.
Maintenant, c’est Finkelkraut, l’intello sur lequel bavent et contrebavent les twittos.
Au(x) suivant(s) …
On entendait des choses plus intéressantes, quand c’était Houellebecq, le sujet de conversation.
Qu’on en dise (et/ou pense) du mal …
Ou du bien.
Bon c’est pas tout ça, faudrait que je retrouve « Soumission », qui m’est (encore) tombé des mains autour de la page 100 alors qu’il ne s’était toujours rien passé à part une séquence de Q triste toutes les 20 pages, et que le narrateur était coincé en panne d’essence dans un hôtel de village de province sur le chemin de l’exil vers l’Espagne ou ailleurs tandis qu’un genre de révolution islamique démarrée après la défaite de Hollande en 2022 compliquait le ravitaillement des stations d’essence, la libido des intellos de gauche, et les programmes TV, je crois …
Mais, quand même, où est passé Houellebecq (l’écrivain, pas le vendeur de SAS) ?
Reno – 25 janvier 2015