Pas le temps de e-crire (tiens, « écrire », c’est anagrammesque de « écrier », e-toonnisch, nicht ?) sur la grève par procuration des taxis parisiens (moyen de transport diesel et/ou nucléaire pour 1% en vacances et/ou sur notes de frais) et des contrôleurs aériens (moyen de transport polluant …) nous prenant pour de sacrées vaches à lait bêtes à manger du foin pendant que les ministres fument de la beuh et se prenant pour des bêtes humaines, demain, ni sur les sondages politiques et autres prêchis-préchas sociétaux du lundi, et vice-versa, dont ça twitte ce matin dans les médias de godillots de toutes obédiences politiciennes plus ou moins sottes pour dévots de toutes observances sociétales plus ou moins strictes, et vice-versa.
Mais si les phrases de 20 lignes sans ponctuation à consommer sans modération mais avec délectation si l’on n’est pas handicapé du zygomatique et très étroit d’entre les oreilles manquent à quelqu’un(e), il y a pas loin de 2000 billets de « Café du matin à Paris » suspendus dans le cloud et accessibles gratuitement d’un simple coup de clic sur http://cestalire.wordpress.com/2014/01/21/un-e-cafe-suspendu-au-hasard/
Et pour les passionnés de déconomie (à la) française, il y a Frenchonomics, en ligne sur http://frenchonomics.wordpress.com
ReNoComment – 25 janvier 2016
Renaud Favier : Café du matin à Paris 