On peut apprécier le portait psychologique d’un enfant rejeté puis adopté rejetant son enfant, puis l’adoptant (ou pas, ou vice-versa …), et ne pas être insensible à Kate Winslet (celle qui laissa di Caprio se noyer dans ‘Titanic », épatante en « Yentl » de la Silicon Valley) avec des lunettes …
… ou s’intéresser surtout à la tranche de la vie de Steve Jobs (donc d’Apple, de la Silicon Valley, voire du monde) allant du Mac à l’iMac via le Cube … ou pas … pour aimer … ou pas … (le nouveau film sur) Steve Jobs, mais on ne peut pas ignorer (le film sur) cet homme (un sale type épatant et attachant, #cestcompliqué) qui a changé notre monde.
Moi j’ai bien aimé le film (et aussi celui d’avant, ainsi que la plupart des pubs Apple).
Et le(s) Mac (et aussi les Apple d’avant, et d’après, ainsi que les autres iTrucs Apple).
Et (les) Steve Jobs (et aussi plein d’autres qui ont rendu notre monde meilleur).
Epicétou.
RF – 4 février 2015
PS : sacré bonhomme, sacrée boite !