Un blogueur, c’est comme un écrivain (un writer, en globbenglish), mais qui n’a pas besoin de vendre ce(ux pour) qu’il/elle (d)écrit pour payer son café, en général (certains gagnent leur vie avec leur clavier et/ou de la pub plus ou moins clandestine, comme les écrivains les plus habiles), qui peut net-land-arter dans le web sans trop de contrainte genre droit d’auteur tant que le web restera un espace de (relative) liberté, et de (relative) gratuité (certains écrivains chopent aussi leurs idées, voire leurs textes, dans le web, mais plus clandestinement), et qui ne se sent (en général) pas contraint par les exigences d’un éditeur, les humeurs de (é)lecteurs (faut voir les délires de dingochiants en descente de Prozac que ça chatouille quand on s’assied sur le Larousse, que ça gratouille quand on bouscule le Bescherelle, qui comptent les lignes et les sous-parenthèses comme ils/elles coupent les cheveux en quatre à leur club de Scrabble, bref qui kaskouillent grave en mode zéro humour et tolérance sous la ceinture de chasteté quand on joue à faire vivre un peu le(ur)s mo(r)ts), les votes sur Twitter, les avis (et vices) des tchatcheurs trop vus à la TV ou sur Youtube, et vice-versa.
Reno – 4 février 2016
PS : ceci médit, pour les vieilles (pas) chouettes de tous âges et autres hiboux bileux en tous genres qui n’aiment pas les writers, ni les blogueurs, y’a les chanteurs (honni que « The Voice » y pense, quoique franchement pas mal des petits et grands gosses qui passent à ce TV crochet sur chaines pour vieux ne sont pas pires que ceux qu’on voit en video-clip sur les sites internet pour ados très en retard) et (les dessins animés à) la TV …