En France, on trouve que c’est compliqué de parler anglais, que ce n’est pas simple de fabriquer sans perdre trop d’argent des trucs vendables dans des délais raisonnables compatibles avec les attentes d’éventuels clients (de préférence solvables), et que c’est dur de recruter des managers et dirigeants à peu près capables de gérer des boites quand les étudiants d’écoles de commerce rêvent de faire fonctionnaires ou de s’expatrier …
Pourtant, dans plein d’autres pays européens, même plombés par une monnaie forte comme la Suisse, même blindés de fonctionnaires parlant mal anglais comme l’Italie, et même engoncés de réglementations et plombées par des banques pas très en forme comme l’Allemagne, on y arrive (plutôt mieux qu’en France).
Bon Casual Friday aux un(e)s, excellent G20 Finances aux autres, et bon courage à celles et ceux qui bossent (encore plus) sérieusement le vendredi plutôt que de lire les twits de Moscovici, Sapin ou Aubry …
Reno – 26 février 2016
C’est vrai la profession de manufacturier de toutes sortes (ou idem de paysan ) est décriée voire méprisée en France; j’ai toujours subis cela à mon grand regret .