Quand le temps est toupourri, que le café n’est pas terrible, et que le survol du journal du matin inciterait presque à courir sous la pluie acheter au kiosque la pravda du soir de la veille même si on n’aime pas plus le sudoku que les partis-pris du Monde d’hier et d’aujourd’hui, il faut Rio un peu, beaucoup, passionnément, à la furie …
Les connaisseurs et autres saudadistes do Rio antigo auront remarqué que le décor du plateau de 1964 fait écho aux trottoirs des plages de Rio …
Reno, Carioca exilé en manque de bossa et de cafezinho – 4 mars 2016
Merci pour ce moment délicieux 🙂
Ping : Brazil … on a déjà (re)vu le film | Renaud Favier : Café du matin à Paris