Aucun argument rationnel, particulièrement du point de vue économique, ne peut, de l’avis général à Londres et ailleurs, expliquer l’envie assez nauséabonde de divorce d’avec l’Europe d’une partie des Britanniques en âge de p… voter.
Le sujet serait d’ordre émotionnel, voire un brin infantile, reflétant plus un ras-le-bol et un rejet des institutions comme celui qu’expriment les #NuitDebout et autres protestationnistes, #occupyistes, et zadistes des champs et des villes d’en France, en Europe, et ailleurs.
As simple, voire simpliste, as Trump that ?
Ferme les yeux et pense à l’Angleterre Wait and see, comme on dit au pays de Shakespeare Austin Powers.
On verra bien le 23 juin si le Swinging London tire sa révérence aux bureaucrates bruxellois, ou si les sujets de sa Gracieuse Majesté behave tirent la langue aux Cassandres et aux bookmakers ayant parié sur le Brexit.
Reno – 15 avril 2016