Pour l’information des touristes imprévoyants mais réparables, il y a de moins en moins de restaurants et refuges alpins proposant de vrais poivriers (made in France by Peugeot en France, made in Switzerland ou Germany dans les pays sérieux où l’on évite les merdouilles à deux balles mal fabriquées avec des matières premières désastreuses dans des usines et ateliers cauchemardesques par des enfants exploités ou adultes esclavagisés pour le bon plaisir des dealers et acheteurs de saletés pas assez chères pour être honnêtes dopant le pouvoir de consommation de conneries débiles, de tourisme stupide, de montres et bagouzes de poules et/ou proxos, de bagnoles poussent-aux-crimes, et d’immobilier délirant à Paris, à Chamonix ou en bronze-Q, voire clandestin sous faux-nez au Maroc, à Maurice, ou aux Caraïbes, pour les plus salopards et les dégoûtés des impôts et taxes ne servant qu’aux gaspillages, sectarismes et trains de vie de pourris élus, protégés ou juste sans scrupules), même dans les villages suisses ou savoyards pas blindés de friqués français ou pires mal, voire pas élevés, et quand bien même tomberait-on sur une bonne maison avec vieux (ou moins vieux) poivriers, les épices du grand commerce et des fournisseurs de cafés et restaurants sont en général de la daubasse … bref, emporter son poivrier bien rempli de bon poivre (prévoir de la réserve pour les longs voyages), voire un mélange d’épices ad-hoc de la Migros avec muscade pré-moulue, ou paprika pré-mélangé, selon que l’on déguste une fondue, une raclette, un malakoff, une croute au fromage, un rösti, ou juste quelques rebibes avec vue sur de bons sommets.
Reno – 11 mai 2016
PS : pour les amateurs de fondue aux bolets, voire morilles, avoir toujours sur soi quelques champignons secs permet d’éviter la frustration quand la maison ne propose que des fondues « toutes simples » (et la ruine dans les établissements facturant à prix d’or, voire d’ami -rien n’est plus cher qu’un ami- les options gastronomiques).