Je ne dis pas que je ne serais pas un peu amer, voire colère, si j’étais un bon joueur de foot français d’hier ou d’aujourd’hui frustré d’une bonne place avec jetons de présence parmi les Bleus, comme Benzema ou les autres ronchons, ou privé d’une sinécure prestigieuse dans le staff d’apparatchiks d’encadrement comme Cantona et d’autres grognons moins médiatiques, je dis que déjà qu’on s’en foot un peu de l’équipe de professionnels du ballon pour enfants de tous âges et des résultats sportifs de la France qui galère grave sur tous les sujets importants jusqu’à la météo qui disjoncte sérieusement, les états d’âm(ertum)e des gosses gâtés en manque de primes de matchs ou de plateaux TV, on s’en contrebat grave les fessiers.
C’est quand même curieux, chez une certaine catégorie de footballeurs plus ou moins Bleus, ce besoin de faire les buses (en 2002 en Corée-Japon, ils avaient battu tous les records, ces champions du monde), la grève du bus (comme en Afrique du Sud), ou du buzz pour pas grand chose comme maintenant.
Reno – 1er juin
PS : Allez les Bleus quand même !