Avant, en temps de paix hors saison de chasse aux électeurs, les stratégies d’influence, de contre-influence, de contre-contre-influence à plusieurs bandes et contrebandes, de communication de crise ou de propagande électorale, concernaient les vendeurs de lasagnes au cheval pas très clair, les dealers de trop grosses bagnoles diesel aux tests anti-pollution pas très frais, les politiciens pris la main au panier de confiture ou pire, du bug business ou des causes sociétales.
Mais c’était avant (enfin, l’an dernier, ou était-ce il y a quelques mois, ou bien hier ? …).
Maintenant … c’est toujours pareil, voire pire.
Reno – 14 juin 2016