Les gosses, même s’ils ne sont pas (encore) du genre qu’on doit aller récupérer au commissariat à l’heure de Téléfoot parce qu’ils ont piqué des trucs au drugstore à l’heure de l’école buissonnière pour vendre sur LeBonCoin histoire de payer la beuh ou pire pour le copain rencontré sur facebook qui improvise un blablacaisse en bagnole volée pour aller brûler des motos gare MontParnasse, nuitdebouter avec des zadistes à Nantes, ou youtuber un boeuf (maintenant, on appelle ça autrement, mais c’est des gens qui s’agitent pendant que d’autres font du bruit, et qu’un victimisé volontaire filme avec plus ou moins d’incompétence et un iPhone volé, rien de nouveau sous les sunlights) … ils sont vulgaires.
Les grands dvieux, même, voire surtout, les « vus à la télé » privilégiés bien sapés qui ont de l’influence sur les djeuns et de la tchatche pour draguer les électeurs et électrices, sinon des hormones qui leur font croire qu’on peut se permettre tout et n’importe quoi, voire pire, sans risquer plus qu’une QPC, un rappel au règlement d’un perroquet sur son perchoir, ou une présomption d’innocence, c’est encore pi(t)re, surtout quand on les réveille à l’heure d’une sieste (honni qui « crapuleuse » y sussurre) et/ou que la météo les empêche d’aller au golf en passant par le bois de Boulogne.
Les nains hors d’âge, c’est pas mieux.
Les étrangers, n’en parlons pas.
Quant aux « normaux » …
V..ive les vulgaires !
Reno – 25 octobre 2016
PS : et les verts ne sont pas les moins vulgaires.

Crédit : Soulcié