Tout le gratin des acteurs et professionnels du cinéma de son temps (1962) passe devant ou derrière la caméra de Julien Duvivier, moins « noir » qu’à son (extra)ordinaire dans le diable et les Dix Commandements.
Même Audiard dialogue un sketch !
A déguster sans modération, tant que ça restera dans Youtube (dont les robots nettoyeurs sont beaucoup moins sourcilleux du copyright avec les vieux films de l’âge d’or du cinéma en général et des Glorieuses du cinéma français en particulier, qu’avec les daubasses contemporaines à placement de produit toutes les 30 secondes, vannes grasses pour ados à tous les étages, violence à volonté, presqu’autant de sous Q sinistre que les pires vidéos clips, et QI dans les baskets).
Reno – 28 octobre 2016