Je dis pas que tout était parfait, bienveillant, bienpensant, toussa-touça au temps des vrais films de cow-boys, avec l’humour ravageur de Donald (Duck, pas Trump), la classe intello de James (Stewart, pas Dean), et la virilité élégante de Grant (Cary, pas Ulysses), bref au bon vieux temps de la grande classe américaine …
Je dis que le cinéma parisien contemporain, c’est comme la politique un peu partout, la BD en France, et la presse dans les kiosques, y’a pas seulement du rienkedubon, mais certaines daubasses pour fans de Canal+ et (é)lecteurs de mangas sont moins pires que d’autres.
Reno – 14 novembre 2016