Leonard Cohen nous aimait bien, mais il nous a envoyé valser début novembre.
Il est parti chanter ailleurs.
Comme un oiseau sur un fil qui chante.
Toujours libre.
Amoureux, depuis toujours.
Inspiré, comme toujours.
Vivant, pour toujours.
Tout passe, tous (tré)passent, tout se dépasse, tous les pas, rires, larmes et rimes se dansent et se valsent …
Rideau.
Ciao Leonard.
Reno – 18 novembre 2016