Brexit, comme le répètent en choeur (sinon avec sincère conviction) May et Trump, or not Brexit comme le prédisent (tiens, « prédisent » est l’anagramme de « président », épatich, nicht ?) certains continentaux pas dupes de toutes les (im)postures politiciennes et/ou diplomatiques (ceci twitté, « l’identité britannique », c’est quand même un truc aussi solide que Churchill, les Beatles, Carnaby Street, ou Elisabeth 2), telle n’est pas la question que (se) pose Ma Clinton … qui n’a toujours pas mieux compris la question sur l’avenir de l’Europe, qu’elle n’a admis son « psccchhhiiitttt » d’anthologie à l’élection présidentielle américaine malgré les soutiens de Wall Street, de la Silicon Valley, de Hollywood, du Paris des (é)lecteurs du Monde, et du médiacosme global, entre autres.
A suivre … mais pas aveuglément, tous le monde, même les intellos à grosses lunettes autoproclamés experts mondiaux en diplomatie globale entre autres sujets que seuls peuvent comprendre les maitres du monde et autres génies des alpages, surtout les Américain(e)s, peu(ven)t se (laisser) trumper.
Reno – 16 janvier 2017