Avant, en France, on pouvait gagner de l’argent dans « les affaires », honnêtes ou pas trop, et s’offrir une (fin de) vie confortable surtout si on avait commencé dans la vie avec un petit capital, un peu de cervelle et de muscle, un brin d’astuce et de bagout, et un bon réseau.
Mais c’était avant la concurrence globale, le code des marchés publics, les écoutes téléphoniques tout le temps et les caméras vidéos partout.
Maintenant, si tu veux un train de vie, des privilèges, et une retraite dorée d’intermittent du show-biz de première division française (la champion’s league, c’est encore autre chose, quant au top niveau mondial du racket audiovisuel en moule-bite en satin ou protège-tétons en latex, c’est devenu tellement stratosphérique que même les petites annonces immobilières les plus indécentes de la fin des magazines de gauche caviar Berluti-Rolex-Porsche ou droite foie gras Courchevel-Cyrillus-Jaguar n’intéressent plus ces gens-là), de bébé requin de la finance ou du Tech, de trafiquant d’influence, de drogue et d’armes, ou de parasite mondain invité gratis partout, tout le temps, logeant en appartements subventionnés, et voyageant surclassé loin des veaux puant la clope ordinaire et leurs gosses de l’école publique (ne pas confondre avec l’assistance publique d’avant, dont certains parvenaient à sortir) braillant des vulgarités consternantes, faut … (honni qui à la même vieille blague salace y pense) faire de la politique (professionnelle).
Pas besoin de la version détaillée, ni de noms, si ?
RF – 18 février 2017
A reblogué ceci sur La Maison Ecologiqueet a ajouté:
Je partage cet article tout simplement parce qu’il m’a fait rire 😆. On a vraiment besoin de rigoler dans ce monde de folie.