Avant, du temps du beau langage et de l’humour élégant, il y avait déjà des choses bizarres.
Des trucs à s’indigner au sujet desquels quand ils viennent d’un camp adverse, et à donner la nausée quand on apprend que ça concerne des proches (rien à voir avec Desproges, quoique …), des gens qu’on respecte, des choses dont on parle, mais qui ne devraient pas se faire.
Mais avant, c’est fini, c’est même à ça que sert le progrès, en principe.
Y’a (encore) des choses (salement) bizarres.
Reno – 13 mars 2017