Avant, au temps de la TV en noir et blanc (et encore, seulement pour les happy fews), la 4ème dimension était une série de science-fiction américaine concurrente de l’émission présentée par Alfred Hitchcock. Les fans s’écharpent encore pour savoir si la série, « Twilight Zone » en version originale, ne devrait pas s’appeler plutôt « 5ème dimension » …
Encore avant, la quatrième dimension était un objet d’étude scientifique (en très bref, il s’agissait d’essayer de comprendre, et si possible raconter sans trop déconner -c’était bien avant « Les Visiteurs »- l’histoire du temps, avec ou sans option « einsteineries »).
Dans les années 80, quatre gusses ont revisité le truc, avec de la couleur et de la musique de leur époque.
Maintenant que les gamins sont (en train d’arriver) au(x) pouvoir(s), on est/va (dé)passé/(dé)passer à autre(s) chose(s) …
Et ça pourrait être (avoir été ? devenir ?) pire …
Et alors ?
Alors, rien (ou tout ?).
Mais presque rien, ce n’est pas rien, surtout si tout est relatif, voire un peu virtuel …
Reno – 24 mai 2017
PS : pour les ceusses qui se demandent quel sens a ce billet, quelle intention peut bien avoir l’auteur, ou ce qu’il a bien pu boire, fumer, ou pire, bref, qu’est-ce que c’est que cette déconnade dont on sent bien qu’elle n’est pas exempte de causticité sur la politique vue à la télé de maintenant, voire sur la télé qui fait de la politique contemporaine, il n’est pas si ballot, ni peut-être si inutile à plein d’égards, d’écouter un youtubeur plus ou moins anonyme tchatcher de « Black Mirror », (pas si) lointain successeur de « Twilight Zone », penseront (ou pas) certain, et plus ou moins proche prédécesseur d’otchoz, qu’on a hâte (ou pas) de voir à la TV (si possible sur une chaine pour tous, pas juste sur Netflix dont les gens qui savent que la TV a été en noir et blanc dans le passé ignorent comment s’y abonner).