Le grand remplacement, c’est comme l’Angleterre, les espions ayant le sens de l’humour et des bagnoles attachantes, les jeux de mots pour twittos désoeuvraigris genre #kwassakwassa ou pires, les canulars téléphoniques sur ceci, ceux-là, ou d’autres pour téléballots au Pisa de supporter de foot, les délires de déconomistes frondeurs, frontistes, et autres mammouths et calotintégristes décongelés au micro-onde et nuitdeboutistes en descente de commission plutopi(r)e, le fantasme de Grand Soir, le vote pour autre chose que le macronisme, le SF (sado-fétichisme, passé de mode même dans les clubs échangistes de province, pas science-fiction, toujours très tendance chez les Tangeeks et autres nostalgiques du temps qui passe encore plus vite que les twits de Trump), la galanterie, les panzer à sièges en cuir de fonction pour cadres provisoirement dirigeants, les festivals en Provence, ou s’appeler François : totalement hasbeen …
… limite neverbeen …
… courant plus du tout politiquement correct.
Mais le Petit Dégagement est furieusement attractif (en France, et chez les journalistes anglo-saxons).
Faut dire que le plan du remplaçant de l’intérimaire de DSK a marché diaboliquement …
… que ça a karcherisé comaque façon puzzle chez les usual suspects de la politique d’à Paris et alentours d’avant l’OPA de la StartUp des transfuges (ou pas) du PS …
… et que, si personne ne sait trop bien où ça va, entre un gouvernement tutti frutti et un parlement de stagiaires, jusqu’ici l’état de grâce marche plutôt triomphalement !
A su(rv)ivre (pour le plan de la dissertation de fin d’année ScPo sur le petit dégagement, classique « Pourquoi, Comment, Jusqu’où » en trois parties : d’abord le pourrissement et tout qui ne marche plus avec une contestation aussi braillarde que stérile, ensuite le topo sur la mécanique de putsch souriant de Macron, et troisième partie sur les scenarii de réussite, d’échec, ou de statu quo pour le premier quinquennat) …
Reno – 14 juin 2017
PS