Un des premiers billets (le deuxième, exactement) du blog « Café du matin à Paris » relatait la gueule de bois des participants au « COP » de Copenhague, il y aura une décennies dans pas tellement longtemps : https://renaudfavier.com/2009/12/19/hello-copenhague-mug-a-moitie-vide-vert-a-moitie-plaint/

Le climat change (et pourrait refroidir en France, tellement tout ça est compliqué, le réchauffement ici ou là induisant des variations inverses là ou ici, ou vice-versa), pas les rituels d’apparatchiks de l’écologisme institutionnel claquant notre pognon pour s’entre-congratuler au champagne à Rio ou autre souriante métropole avec hôtels de passes de luxe  : https://renaudfavier.com/2012/03/31/copenhague-le-retour-2012-so-what/

Tout change, rien ne change, à part la tronche de la potiche ministérielle parisienne du moment en charge du serrage de greenwashers globaux et autres ronds de jambes entre pollueurs repentants aux jamborees de fat cats de l’écologisme bavard voyageant et couchant en classe business : https://renaudfavier.com/2015/09/22/de-cop21-a-catch22/

Il faut une sacrée dose d’humour pour (continuer à) sourire de ces écolocrateries (sans écolocrater de rire ?).

 » … à force de tirer sur la sonnette d’alarme, elle va nous rester dans les mains. »

Reno – 7 novembre 2017

PS : ceci twitté, c’est pas ballot de faire un TedX sur la Perestroïka  climatique chez Merkel, parce que c’est peut-être la seule dirigeante du monde habituée aux G7 ou G20 en salons climatisés à avoir subi le Permafrost d’avant la Glasnost (rappelons que Poutine était simple résident du KGB en Allemagne, du côté frais du Mur, quand l’URSS est entrée en fusion façon Tchernobyl) et à trouver que c’est pas si mal, un peu de chaleur …

Honni qui « What’s new, Pussy Cat » y mépense