Pas trop le temps de gratter un vrai billet avec des phrases de 10 lignes sans virgule qui me font traiter de « ‘naze » par les incultes et/ou paresseux à l’humour de bidet made in Turquie et d’abscon par celles et ceux qui ont plus de 500 mots de vocabulaire et lisent plus d’un livre par décennie, et des improvisations lexicogrammaticales à faire tomber de leur selle de vélo en cuir les glandeurs parigots et pires n’ayant rien d’autre à ficher que de me compter les poux sur la patinoire à moucherons, mais fallait marquer le territoire question titre de futur e-book en fauchant vitfait la petite trouvaille de plus personne ne sait qui mais ça n’a guère plus d’importance que n’importe quel plagiat ordinaire.
Bref, Macron est un peu à la peine sur l’impôt à la source (dont n’importe qui d’à peu près honnête intellectuellement et pas plus politiquement partisan que n’importe quel bivalve de port breton, n’importe qui écrivais-je sait bien que le mode de perception de l’impôt sur le revenu, au demeurant marginal dans la collecte fiscale à moins de 20% du fric pompé par l’état et autres machins sous-étatiques, n’est pas le sujet, que c’est le mammouth fiscal obèse qui écrase les con…tribuable, la pieuvre labyrinthique des exemptions, niches et autres échappatoires qui étouffe les con…citoyens, et le panier percé et pourri de la dépense publique qui assassine le con…sommateur), entre autres, à la rentrée.
Le chobizeness, c’est un métier, ça ne s’improvise pas même si on est bogosse comme un mannequin de publicité pour mousse à raser Ushuaia et meilleur communicant que le fils naturel du dealer d’auto-bronzant de Séguéla et de l’avocat des jumeaux Bogdanoff, il ne suffit pas d’avoir réussi un concours de fonctionnaire à 20 berges, fait son stage éna dans une banque, et passé 2 ans au cabinet du mec qui avait tout bousillé à Solférino, même les chiottes (Martine Aubry dixit, après sa victoire douteuse face à Ségolène Royal pour la succession de François Hollande au secrétariat général, forcément général, du PS) …
Ceci rapidement griffonné sur le clavier, personne n’a jamais promis à Macron que le job de G.0. remplaçant d’une bande de ministres mollusques génération ClubMed et d’une cour des miracles de députés bigorneaux d’eau douce recrutés sur Tinder serait un long fleuve tranquille vers la réélection dans un fauteuil, puis le parachutage sur un siège doré à la tête d’un « machin » global ou d’une banque multinationale.

Coïtus interruptus ? (cliquez sur l’image pour tout en savoir)
Si ?
RF – 4 septembre 2018 (la bise à Gambetta)
PS : n’empêche, il y (aur)a au moins encore et toujours un con…citoyen satisfait du bilan de Macron, même et surtout si ça tourne au fiasco mahousse champion du monde au son des DJ de la fête de la musique dans la cour de l’Elysée, des plantages du 14 juillet à la Concorde, et des trahisons de ministres ..