Parmi les m…arroniers de rentrée, l’addiction aux réseaux sociaux, entre autres critiques en mode thèse-antithèse-synthèse de jeux vidéos et plus ou moins serious games en principe réservés à des individus d’une certaine maturité sexuelle, sinon au-delà de l’âge de la masturbation intellectuelle ou en plein dans celui de la sodomie de lépidoptères subventionnée (accord avec la pratique sexuelle que les adultes réels ou supposés un tant soit peu décents ne pratiquent pas avec des enfants plus ou moins déniaisés et/ou drogués de tous âges civils rencontrés sur les réseaux sociaux ou à proximité de la piscine d’un lieu de vacances pour cocaïnomanes, pas avec les lépidoptères, matures, sains d’esprits et consentants ou pas)… permet aux marchands et clients de bla-bla de commencer leur année professionnelle (sic) sans s’inquiéter publiquement de la toxicité de tel ou tel lobby, tel limogeage ou telle promotion dans le parisocosme, ou de telle ou telle annonce de réforme fiscale ou scolaire, sans paniquer pour la nature, l’économie, ou la nourriture toujours plus bousillée, ni s’exciter plus ou moins pudiquement à s’indigner, se contre-indigner, se post-indigner ou chercher un angle original ou une « vision hélicoptère » sur telle ou telle actualité plus ou moins fondamentale …
En fait, c’est pas les réseaux sociaux, c’est la m…, le truc sur lequel il faudrait publier dans les journaux pour abonnés par leur boite ou leur administration distribués gratis aux étudiants comme les boissons pour drogués de boite de nuit et les clopes, une dissertation modèle ScPo d’étudiant bac+5 tardif faisant des ménages en universités d’été et autres TEDX en dehors des horaires de fonctionnaires et de plateaux télé et des piges dans les médias où ils ont des copains depuis un fauteuil club de bar d’hôtel à clients de poules de luxe les jours fastes et de Starbuck loin des parkings à SUV urbains King Size quand tous ses clients attendent 120 jours, 60 mails de relance, et/ou l’année fiscale suivante pour raquer ses factures en ragnagnatant que la prochaine fois si les tarifs ne sont pas ratiboisés de 20% on achètera la bouillie pour chats à un centre d’appel en Inde ou à un robot twittos chinois …
RF – 6 septembre 2018
PS : j’ai pas pris le temps d’ajouter la touche féminine genre « ils/elles » ou « .e.s » partout, d’abord parce que ça gave et c’est moche, ensuite parce que la grammaire d’avant ou d’autrement n’est pas moins respectable que celle des couillons de maintenant dont les plus djeuns du vieux bulbe en sont déjà à exiger qu’on balance un troisième genre et plus, ou moins, ou au contraire, si affinités dans le Bescherelle de la francophonie, enfin parce que déjà que ça ronchonne que faudrait voir à taper sur les touches de ponctuation de temps à autres et de retour chariot par ci, par là, pour d’éventuels lecteurs pas encore aux Gabonais absentéistes, ça va brailler chez les drogués de l’écran puristes, réacs tendance geek sachant lire ou hispster canal sachant écrire, et autres joueurs de jeux vidéo modernistes de courants minoritaires, ou pas, si on commence à écrire comme « il se doit » (se met le doigt dans l’oeil ou ailleurs ?) comme si c’était pour vendre sa sauce pour payer ses factures ou s’acheter sans trop se surendetter un nouvel ordi, faire plaisir à d’autres pour garder son job ou piquer celui de quelqu’un d’autre, ou jouer les bons petits soldats de la rentrée politico-médiatico-littéraire parisienne, dans l’ordre ou le désordre …