Cet automne, les vrais et faux djeuns « activistes » contre la dégradation de leur environnement en particulier et de leur avenir en général s’indignent sauce « Extinction Rebellion », un genre de bande organisée d’écolos radicalisés ultra connectés (on ne sait pas trop à qui, sinon aux usual suspects de l’anti, de l’alter, bref du business de la contestation dans les pays momentanément libres et encore plus prospères que la moyenne).
Avant, il y a eu #Occupy, et encore avant, de paquets d’autres mobilisations plus ou moins adolescentes pour des causes plus ou moins rock n’ roll, aussi éphémères qu’un feuilleton à la télé.
C’est comme ça, mais je parie ma chemise en solde que les gosses de pays provisoirement riches cesseront les agitprops à l’approche de Noël chez Paent1Parent2, des partiels de fin de trimestre, et de la saison du ski en train nucléaire ou des vacances au soleil d’hiver chez les sous-développés moins chers que les montagnards embourgeoisés.
Green, vous avez dit green …
En attendant, Extinction Rebellion fait le buzz.
Reno – 8 octobre 2019