
En bref, le monde virtuel, c’est comme le monde réel, et s’y comporter (encore) moins bien que dans le monde réel, notamment pour ce qui concerne la “propagande” (c’est le mot officiel) électorale en saison de campagne, c’est s’exposer à des baffes dans le monde réel, pas juste à 3 jours de bannissement de fessbouk parce qu’on a copié collé l’image d’un tableau jugé olé ou laid aux standards de là où Facebook emploie ses censeurs et maintenant, pour le meilleur et pour le pire.
Ci-après lien vers un topo de la CNIL que tout candidat ou militant ou les deux à la fois ferait bien de lire en long et en large, pour s’éviter des tracas post électoraux, par exemple si un adversaire battu de justesse plus ou moins bien conseillé, et inspiré, trouvait plaisir à tenter de contester le résultat de l’élection en s’indignant qu’une affiche ait été vue sur une page pas assez privée, qu’un encouragement à voter pour unetelle ou untel soit passé dans un blog public, bref un motif de cornecu mais on a vu des procès en pénal tourner court parce qu’un fax avait été mal envoyé, et de vrais criminels se promener aux cocktails parisiens et dans les lieux de villégiature des grands délinquants de ce monde grâce à des avocats retors tandis que de présumés coupables de tricheries sans mort d’homme croupissent entre violeurs en série attendant leur conditionnelle et assassins espérant une ruse efficace de leur avocat …
RF – 4 Mars 2020
