Les gens qui ont connu Rio à l’âge d’or de la bossa nova (qui, hasard du destin, coïncide avec une dictature militaire, moins impopulaire hors du pays que celles du Chili ou de l’Argentine à la même époque du Plan Condor et de l’exil à Saint-Germain des Prés des rebelles de salon, mais néanmoins d’assez sinistre mémoire) ont eu bien de la chance.
Non, rien de plus à dire sur le sujet … ni d’ailleurs sur la campagne électorale pour les élections municipales en France, puisqu’en principe on n’a pas trop le droit moral, voire le droit tout court, de faire campagne dans le ouaibe profitant de ce que l’usage d’internet en politique n’est pas (encore ?) aussi (in)efficacement régulé en France, que le financement de la politique, le grammage du papier pour les bulletins de vote, ou la taille des affiches.
Renaud Favier – 6 mars 2020
PS : les ceusses que ça intéresse, et qui sont par définition mes amis pour être encore visiteurs occasionnels de ce blog après 2737 articles, donc ce n’est pas faire campagne mais informer ses amis que de leur en parler, les ceusses que ça intéresse, disais-je, peuvent aller jeter un oeil sur le site de la liste CAP 2026 !, sans pour autant arrêter d’écouter de la bossa, moins encore enfreindre le code électoral …