
Donc le prix du masque (tout venant, vraisemblablement made in très loin par des gens pas très payés, mais lavable, et réutilisable au moins une vingtaine de fois, pas un truc jetable, polluant, plus ou moins moisi …) en pharmacie sera de l’ordre de 5 euros, et les tailleurs, retoucheurs, et petites mains habiles avec une aiguille ou une machine à coudre qui en fabriquent de jolis les vendent entre 10 et 20 euros, en attendant que les marques de fringues plus ou moins luxueuses arrivent sur le marché en transformant la contrainte anti-virus en accessoire de mode chic.
Et le ronchonnocosme de pleurnicher à la télé et dans twitter que 5 balles, surtout s’il faut acheter 2 ou 3 masques par personne pour assurer le roulement entre les lavages, ça va nuire gravement au budget clopes, que les ados ne pourront plus se payer leur beuh (dont au demeurant les tarifs en ville sont encore plus à la hausse que les actions d’Airbus), et qu’en plus il n’y a même pas de trou prévu pour passer le mégot …
RF – Paris, 29 avril 2020 #DéconfinementOuPasdu11MaiMoins12Jours
