J’ai hésité avec « les meurtres » pour le titre, en hommage aux fameux western spaghetti, mais un clin d’oeil à Cinéma Paradiso m’a finalement paru aller mieux avec le noir joyeusement triste du départ du maestro et de la mort avec lui d’encore un peu plus de ce(ux) qui reste(nt) d’une certaine idée du cinéma.
Ciao Ennio.
RF – Paris, 6 juillet 2020, et le virus chinois (version 19, en attendant les mises à jour plus contagieuses et probablement plus mortelles) rôde toujours
Ps : tout le monde meurt (#notetomyself chercher mes DVD de DR House pour le prochain confinement), même (surtout ?) les justiciers solitaires, et les hélicoptères s’en vont heureusement au ciel même s’ils étaient dans la ligne de tir sur le héros, mais tout le monde n’a pas la chance que ce soit du cinéma, et de partir avec la musique d’Ennio pour linceul.