Compromis, chose due (cf Coluche, je précise parce qu’avec les Bac mention TB niveau CM1 d’avant 1981 et les paquets dingues de supporters de séries TV et fans de foot, on n’est plus trop sûr du socle culturel commun des gens ayant en principe bénéficié d’une scolarité gratuite et obligatoire en français jusqu’à 16 ans, surtout parmi les joueurs de jeux vidéos pour adultes genre LinkedIn, Twitter, Facebook ou des blogs), pas la peine de sauter comme des cabris parce qu’il a été rappelé que l’état de droit est préférable aux restes, et que les pays pas gérés déjà surendettés pourront avoir des centaines de nouveaux milliards gratis officiellement non remboursables et d’autres centaines de nouveaux milliards à taux zéro officiellement remboursables mais tout le monde sait que ça finira comme les dettes de pays africains pas gérés non plus (par les mêmes ?), en annulation de dette en échange de promesses pas tenables de meilleure gestion … mais mieux vaut un compromis souriant qu’une absence d’accord qui aurait bousillé les vacances “rosé sous parasol, pastis bord de piscine, ou bière vue sur la mer” des négociateurs et dirigeants souriants sur la photo.
On verra bien si ça fait remonter l’action Airbus et les sondages des politiciens, mais en tout cas l’accord européen sur les 750 milliards va doper l’état de droit autant que les réservations pour les croisières cet hiver …
E la nave va …
RF – Paris, 21 juillet 2020 (à quelques heures près, l’accord tombait pour l’anniversaire de Jacques Delors)
PS : ne nous mécomprenons pas, l’accord européen était souhaitable, même si peu importait en vérité que tant de centaines de nouveaux milliards fussent en principe cadeau, et tant d’autres centaines en principe remboursables par les pays pas gérés surendettés en voie de sous développement qui demanderont fatalement dans quelques années l’annulation de ces nouvelles dettes comme leurs confrères pas gérés de pays jamais développés, ce que savent parfaitement les pays à peu près gérés ayant encore l’espoir d’éviter de tourner ClubMed en faillite sans même le soleil avant encore quelques siècles de réchauffement climatique.
