C’est pas seulement à cause de la “gestion” de bras cassés du virus (qui aurait muté et dont la deuxième vague pourrait n’être une vaguelette question mortalité, malgré tous les efforts des djeuns pour aider à faire de la place dans les EPHAD et rééquilibrer les comptes des caisses de retraites en contaminant leurs ieuvs à grands coups de Covid-Parties au soleil et de sauteries en meute de supporters, bronzeurs, ou simple agités avec ou sans DJ), et de l’inoubliable scène de l’hôpital du film des années 80, que la France de cet été fait penser aux Sous-Doués (revus à la télé au moins 2 ou 3 fois pendant et depuis le confinement), ni uniquement à cause du jet-ski de Jean-Claude Duss, des erreurs de gestion de Popeye, et de tout le reste plus ou moins hilarant mais encore dans l’air du temps, que le moment du gouvernement évoque irrésistiblement l’assez ratée mais nostalgisante suite des Bronzés, tournée en Italie 3 décennies plus tard que leurs congés payés en Afrique et la fondue au fil dentaire, trop tard.
Pas seulement, mais y en a (beaucoup, hélas).
RF – 21 août 2020
