Pas sûr que Bertrand Tavernier n’eût pas apprécié, non, pas l’horrible démonstration aux derniers « césars » du passage en mode zombie des restes du cinéma français, un petit supplément de promenade d’âme en peine sur cette terre, comme plus ou moins tou(te)s nous autres qui ronchonnons volontiers comme des enfants gâtés entre un coup de torchon et un dimanche à la campagne contre la vie qui parfois sombre parait, sinon noire est (Noiret, svp ne pas lambiner du bulbe sur ce blog), et pouvons nous laisser aller à souhaiter qu’elle soit raccourcie plus ou moins abruptement pour nous, ou plus naturellement, d’un petit ou grand rien pour d’autres (nb y’a la vie et rien d’autre, dans tout ça, merci de suivre, sinon je tente un truc avec « elle se marie, elle » pour vérifier que personne n’est endormi dans une brume plus ou moins électrique).
RIP, non, pas le cinéma française (j’espère), Bertrand Tavernier.
RF – Paris, 26 Mars 2021
PS : le verre à moitié plein, pour Tavernier, c’est qu’il va pouvoir (re)faire la fête avec plein de ses amis là-haut …