Je rappelle que si le café du matin à Paris est en mode service alternatif, voire un peu RTT ces temps-ci, pour des motifs réels et sérieux dont l’explication besogneuse au lecteur éventuel serait aussi incongrue que contreproductive pour la popularité de ce blog qui n’a aucun intérêt économique au nombre de clicks (la pub c’est juste pour que ça reste gratuit et c’est WordPress qui gère), mais dont l’auteur se réjouit quand même quand il voit passer un ou deux pékins dans ses statistiques (notez, pour la bonne humeur généralisée, qu’on a encore le droit d’écrire « pékin » dans le web, mais pas « p.a.k.i » sans ruser avec les robots sous risque réel et sérieux de se faire exclure des réseaux sociaux pour adultes pour violation des standards d’indignation et ou de schoking de tel ou tel communautarisme en vogue, hystérie collective obligatoire, et/ou wokisme de saison, mais qu’il y a maintenant un « p-word » comme il y a depuis longtemps un « n-word » à ne jamais écrire sous peine de rappel au règlement multinternational, d’avertissement, puis de blâme et le toutime comme dans le sketch de Coluche) … je rappelle donc que les autres blogs de même eau (si, on dit comme ça dans les livres d’avant, et si ça vous plait pas, yaka aller jouer à TikTok) sont aléatoirement plus actifs, par exemple le très frais Paris Potemkine, le sémillant StartUp à Paris, et bien entendu le déprimant mais stimulant (si, en même temps, c’est l’effet Macron !) Frenchonomics, entre une vingtaine d’autres que y’aka googler un brin pour tomber dessus et en profiter à l’oeil plutôt que de se le rincer sur les photos de robots qui proposent du seks tarifé dans fessbouc ou des vidéos cradingues sur les réseaux sociaux réputés pour adultes mais fréquentés par des enfants de 3 ans (honni qui et des ieuvs d’âge mental guère plus convaincant y mépense tellement fort qu’on les entend sur le quai du RER).
Bref, y’aka cliquer sur le lien ci-après pour choper le billet de Frenchonomics qui lui même renvoie vers LinkedIn en poupée russe paske ce matin ils fait beau à Paris alors je fonce boire un café en terrasse ensoleillée avant la météo d’hiver et la fin des chauffages au gaz décidée par les dingos du vélo avant même que de toute façon les bistrots n’aient plus les moyens ni les subventions pour offrir aux clients sans encore un supplément (à 2 balles 40, après on nous dira qu’il n’y a pas d’inflation alors qu’avant c’était 1 balle au comptoir).
RF – Paris, 22 octobre 2021