Les cinq notes du code du film (un peu oublié) de Spielberg, autour de la 32ème minute, ne sont pas l’attrait musico-cinéphilique majeur du joli film de Martin Ritt (également oublié, quoique prolifique et ayant notamment réalisé le très convaincant « Espion qui venait du froid », inspiré de John le Carré, avec Richard Burton), par ailleurs joliment servi par un casting de folie, un Paris (encore) magique, et un Duke Ellington en lévitation.
Quand Paul ouvre le bal …
… Satchmo se jette dans la battle.
A déguster sans modération à happy hour à Paris.
Reno – 19 septembre 2017