Avant, ça se chamaillait entre les Versaillais, les Jacobins, les Girondins, les porteurs de pièces jaunes, les amateurs de lipdub, et les twittos durs de la feuille, pour les pains au chocolat et brioches, dans les rallies et autres BBQ UMP, et ça finissait par être sacrément contreproductif.
Mais c’était avant. Maintenant, ils ont une (peres)Troïka, à l’UMP.
Bien sûr, ça fait un peu oldschool, tendance ringard, de ressortir un trio de pépères qui étaient déjà plus ou moins sénateurs quand on a inventé le vote de femmes en France.
Evidemment, la troïka des gérontes à plumes (avec ou sans cheveux, mais c’est un autre sujet) rappelle plus le Politburo de quand Brejnev était (presque) sexy que la Perestroïka.
Bien sûr, on pense plus à l’archipel des purges et aux porteurs de chapeau du Goulag qu’à la Glasnost et la chute du Mur des lendemains qui devaient chanter.
Mais en octobre, il y aura un congrès (extraordinaire ?) du Parti.
Et peut-être même une bonne révolution (d’octobre ?), comme en 17.
Il pourrait y avoir du changement, mais troïka ne vaut pas perestroïka …











