Le truc sublime, avec les histoires d’amour d’hi(v)er, même (in)finies (mal en général) c’est comme avec le jour de la gentillesse et autres trucs qui ne durent jamais toujours (tout au plus le temps des fleurs), c’est les femmes (je dis ça, je n’ai rien contre les pingouins, juste rien pour).
Un jour, il faudra que j’écrive un billet sur les pingouins ; l’amour les plouples …
Renaud Favier – 14 novembre 2014
PS : les amours finies, c’est comme la bonne poésie, c’est triste et beau, en général
PS 2 : Marienbad, l’amour, qui se souvient où, quand, et même si, c’était, de toute façon ?
PS 3 : l’amour, la gentillesse, hier, toujours, ou (même) pas, c’est compressé compliqué
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