
Il y aura quand même eu des cafés sacrément convaincants, cette année …

Bien sûr, il fallait avoir la chance d’avoir la possibilité de bien choisir son « ici et maintenant » pour bien en profiter …

Bien entendu, il fallait avoir la chance d’avoir les moyens (et/ou d’arbitrer entre des gaspillages pas tous responsables et des petits plaisirs majuscules pas tous coupables) de ne pas dépendre des cafés suspendus pour choisir son lieu de vie de château au soleil et son Happy Hour …

Évidemment, ça ne pouvait pas durer toujours … même les meilleures Thermos (2 Euros en vide-grenier, faut pas acheter n’importe ou des daubasses made un nimportou naiportekoman) ont une fin, les vraiment bonnes tenant jusqu’au coucher du soleil …




