La mondialisation, c’est super-pratique pour chercher des dattes fraîches (dates fraîches, ça le fait aussi, n’en déplaise aux académistes) et ruser avec le changement climatique en skiant à Dubai quand la neige manque en moyenne montagne de vieille Europe
A part la queue pour le check-point anti-bouteille d’eau à l’aéroport et de temps en temps une grève du glycol ou plus si affinités, c’est assez simple d’aller voir ailleurs si on y est

Trouvé sur internet, le plan a pris un peu de retard mais ça avance bien
Il faut cultiver son jardin de préférence un peu plus ailleurs, parce que les vieux machins où on a mis les douaniers à la retraite et où on a presque tous le Mark-CFA (en plus ou moins grandes quantités plus ou moins dignement acquises mais c’est une autre histoire), ça permet de faire des films comiques et ça simplifie bien pour faire ses courses mais c’est plus possible d’y trouver des tomates qui ont mûri au soleil ou un café pas préfabriqué
Il faut aller jouer les candides au-delà du périph’ et des parkings à berlines made in Germany des lubérons et autres ryads annexes parce que les villages trop bien signalisés pour piétons en Berlutti, ça vieillit mal (le « rien » en bas à droite, c’est le coin où en parachutant un dilettante en patins à roulettes et un archéomédiosaure et en ne pensant pas que les électeurs godillots du Général -Bénou, pas « Le »- étaient soit morts soit assez lucides pour ne pas se faire refiler des vessies pour des lanternes, les straténarques ont réussi d’un coup d’un seul à perdre la mairie de Paris et une circonscription « imperdable » : UMP = Union pour M… à Paris ?)
De toute façon, le meilleur des mondes possibles, c’est « ici et maintenant »
Renaud Favier – 7 février 2011 – http://www.renaudfavier.com
Le bonus : on the road, the « real thing »
C’est fini pour aujourd’hui






