Valses (Valls ?) hésitations à #Paris, #France (#Europe ?)

Bref, un barbu qui n’était même pas en vitrine aux journées du patrimoine lit que le droit de vote des étrangers est urgent pour que la gauche ne perde pas dés 2014, et Valls, dont la position est en arrière de la main gauche comme pour le mariage pour tou(te)s, a un  doute.

Je suis, donc je doute !

Que Valls ne soit pas le supporter le plus (in)con(ditionnel) des promesses du programme commun de 1981 parmi les notables du Parti en général et les apparatchiks du gouvernement d’autant plus sûrs de leur fait (de l’Humanité) qu’ils ont moins participé à l’épisode précédent de la culture des lendemains chantant, en particulier (quand on met le signal « 3 points » en début de blog, on est mieux retwitté dans certains réseaux, j’ai compris ça en lisant les journaux), ce n’est pas une découverte révolutionnaire comme l’iPhone 5 ou l’amour entre Marseille et l’Etat parisien qui pourrait déboucher sur un PACS, voire un mariage. On avait même cru comprendre, pendant les primaires PS, qu’il avait une vision des fédérations PS des Bouches du Rhône, du Nord et de quelques ailleurs du monde tel qu’il est et de l’économie réelle moins délirante que celle de Montebourg ou des vieux éléphants jamais redescendus d’un mauvais trip en LSD dans les Seventies que la moyenne PS en 2012, et réussi, sans ruiner 6 générations passées, présentes et futures ni emprunter à la région qui elle-même empruntait aux marchés, quelques trucs pour un « vivre ensemble » pas trop artificiel ou fragile dans la commune où il bossait avant de faire ministre. Et malgré une susceptibilité ombrageuse proverbiale parmi ses adversaires, condisciples, camarades et néanmoins ennemis (et un rang de sortie de l’ENA nettement en dessous de celui de l’élite de la promo Voltaire, ce qui n’est pas « anormal » compte-tenu des règles non écrites de la méritocratie française de l’origine étrangère de certains de ses ancêtres et de sa jeunesse dans un milieu social manquant des rallyes et séjours en écurie sans lesquels on manque de certains codes, réflexes et réseaux utiles pour sortir dans la botte), l’individu n’est pas antipathique, pas fermé au dialogue, pas sans un certain bon-sens, et même pas dépourvu de sens de l’humour, même si son courant n’est pas majoritaire au Parti et si sa fonction actuelle limite ses options pour le second degré et l’auto-dérision.

« Vous travaillez dans la police, sans doute ? »

Et que certains barbus soient favorables à une société plus ouverte aux droits et coutumes des étrangers et à quelques changements dans les règles écrites du « vivre ensemble », voire à un genre de « révolution » (et/ou contre-révolution, whatever works) si le glabre Mélenronchon n’a pas déposé un brevet sur le mot, ce n’est pas non plus la grande surprise du siècle : on en parle depuis avant-même que les zétudiants les moins militants collent des photos du Che à la place des tables de Mendeleïev dans leur chambre de cité « U » et que les ados les plus incontrôlé(e)s cachent des Kalachs sous leur lit entre la beur et les cartes électroniques pour piquer des bagnoles, plutôt que des revues cochonnes et un Swedish Penis Enlarger ; et un vibromasseur des bières et une boite de préservatifs volés à une pharmacie loin de chez soi (au supermarché, avant, il y avait déjà plus de vigiles et de miroirs qu’aux pharmacies, et puis on n’y trouvait pas toujours des préservatifs, ni les modèle « tendance » sans lesquels on passerait pour un(e) bolos si on arrivait à pêcho sur un malentendu, genre ceux en latex bio équitable avec des nervures chauffantes parfumées à la fraise des bois sauvages à n’utiliser qu’avec le gel pour devant ou le gel pour derrière, ce dernier étant bien entendu encore plus cher, et vendus avec un anneau vibreur gratuit et ses batteries, pas écolos mais tout le monde s’en fout, si on prend la boite de 24) comme Austin Powers c’était normal, avant. Et ce ne sont probablement pas les « think-tank » progressistes de maintenant qui vont faire bouger ces vieilles barbes choses d’avant.

Donc, rien de nouveau sous le soleil, plus ça change, pas plus pas ça change. En tout cas, « Lui Président » a bien compris qu’il est urgent de faire visiter l’Elysée ou de faire des discours sur les grands sujets pour lesquels on peut promettre des éléments de langage pour dans 2 ou 5 ans selon les publics, mais de laisser sa petite quarantaine de plus ou moins djeuns faire le boulot et dire les choses qui pourraient faire tomber du balcon dans les sondages.

Et je dis : « Vive les écolocrates, la fête du Patrimoine, le musée du Louvre et toussa-touça »

Et « Lui pas collaborateur mais néanmoins ami », il sait bien qu’on ne devient que très difficilement Président quand on a fait Premier Ministre et qu’il ne faut surtout pas faire de faux pas ni prendre de risque pour rester 5 ans comme Fillon et conserver une petite chance au cas où il n’y aurait pas d’alternance et où les électeurs voudraient encore changer pour quelqu’un d’eneore plus normal a vite fait de se retrouver maire d’un bled de province au pire, candidat à un job de secrétaire d’un vieux parti de vieux au mieux, quand on a fait Premier Ministre et qu’on s’est mis des conservateurs des deux bords à dos.

« Et bien, peut-être, ou alors peut-être pas, sinon, autrement, ou plus tard, ou ailleurs … »

Evidemment, on pourrait demander son avis à l’Ingénieur en Chef Sartorius ; à la Banque Lazard ; aux Inrocks ; à Louis Gallois ; aux Régions ; aux partenaires sociaux ; à l’Europe au puits de science qui sait tout sur tout, mais depuis qu’il s’habille comme un intello de droite a fait ministre de droite, il ne répète plus assez fidèlement les éléments de langage de gauche (ni ceux de droite, d’ailleurs) et il est capable d’aller énerver des étudiants, des petits patrons poujadistes ou des sénateurs et de mettre le feu au médiacosme, en fonction de son « ménage » du jour. Autant demander à Montebourg.

« Le changement, c’est moi ! »

On pourrait demander son avis à Barbier ; BHL ; Ferry ; Attali ; Glucksman ; Yannick Noah ; Arditi l’ex-futur Président de tous les Français électeurs anti-Sarkozy, il passe bien en public, il s’y connait en mariage à l’ancienne (honni soit qui penserait que « l’ancienne » est une femme, il est fait référence aux mariages d’argent, d’amour, d’amour de l’argent, de tous ces trucs oldschool qui existaient avant le mariage pour procréation plus ou moins assistée depuis que ça marche moins bien par les voies naturelles et plus ou moins blanc depuis que ça peut aider pour avoir la sécu, une mutuelle et un permis de séjour plus simplement qu’en faisant la légion, en aidant à obtenir des grands contrats d’armement ou en bossant honnêtement pendant des siècles) et en relations décomplexées avec ses partenaires sexuels, et puis il était bien plus malin que la moyenne de sa génération avant les évènements d’ordre privé qui semblent l’avoir un peu déstabilisé, au point qu’il dit n’importe quoi sur l’Euro(pe) et l’économie dans des congrès où les invités ne comprennent pas l’anglais et ne mettent pas d’écouteurs, pour faire le buzz sur Twitter, maintenant. Mais, il a beau ne pas être officiellement sarkozyste, il est pratiquement de droite, autant demander directement à Valls.

« Moi, j’ai changé … »

On pourrait même demander son avis à Caroline Fourest ; Audrey PulvarSimone Veil ; Elisabeth Badinter ; Dominique Voynet ; Marie-George Buffet ; Nadine Morano une femme, mais si c’est pour donner le droit de vote ; mariage ; procréation parler à la TV à tout le monde même les femmes, il faudrait organiser un référendum, ou au moins une bonne bouffe à Versailles entre élus (mais ça devient très compliqué, maintenant, avec toutes ces filles à l’Assemblée, le protocole est cauchemardesque), et puis décider avant le référendum à partir de quel âge on devrait avoir le droit de voter, parce que les temps ont un peu changé depuis qu’il était normal que les vieux, les retraités, les sous-tutelle et/ou en hospice (et les morts, en Corse) votent pour se partager les dépouilles du passé et les emprunts au présent : maintenant, c’est pour essayer de s’emparer de (p)réparer l’avenir qu’il s’agit de choisir des gen(re)s et des orientations sexuelles. C’est un peu différent, on peut se demander si un môme qui manifeste dans la rue, est sexuellement mature et (hyper)actif depuis des années, a le même baladeur à rendre sourd-muet et à ne pas entendre les ambulances ou les annuis arriver que ses aînés, regarde plus où moins les mêmes sites internet pour mômes débiles et/ou ultra-violents et/ou frustrés et/ou dépressifs et/ou en échec scolaire et films pour adultes que les plus vieux ados « adultes » débiles et/ou ultra-violents et/ou frustrés et/ou dépressifs et/ou fonctionnaires, au chômisme ou en instance de chômisme, consomme comme n’importe quel con-sommateur normal n’importe quels produits industriels et/ou hors-saison made in ninportou nimportekoman achetés avec de l’argent emprunté ou des transferts sociaux, peut créer une startup avec soutiens publics ou participer à un viol en tournante dans une cave avec moins de public mais quand même assez de potes autour et dans les couloirs d’accès pour participer, dissuader quiconque de chercher à savoir pourquoi quelqu’un(e) crie « au secours » à l’heure où seuls les dealers ont droit de sortie ou pendant les heures de cours, ne devrait pas avoir au moins autant que les retraités et les exilés plus ou moins fiscaux le droit de choisir ses élus, voire d’avoir de dignes représentant légitimes bénéficiant de tous l’arsenal de privilèges, droits et acquis au titre du mandat à l’une et/ou les autres des assemblées nationales, régionales, départementales, inter-municipales, municipales, de quartier, et européennes, entre autres Conseils de ceci, Commissariats de Hauteur variable à cela, ou Observatoire aussi indispensable mais généralement moins coûteux qu’une Agence ou un Comité. Mais un référendum sur des sujets compliqués, c’est pas dans nos traditions, surtout que des fois, ça se passe mal et si on a une certaine idée de la démocratie française, on peut devoir partir en Irlande où c’est encore plus la crise, en tout cas depuis plus longtemps officiellement, et où la saison des pluies dure encore plus des siècles que l’hiver en ex-Nouvelle France. Et puis, un référendum, ça sert moins la démocratie populaire exemplaire apaisée normale, que de prétexte à des politicien(ne)s en rupture de mandats mais ayant un « livre » à promouvoir ou une pré-campagne à lancer, pour être invité(e)s à des cocktails-dînatoires d’après plateau TV où on peut même passer des CV. Autant demander à Taubira.

Elle, elle ne changera probablement jamais … d’éditeur

Mais ceci est probablement assez secondaire par rapport aux tensions entre la Chine et le Japon ; aux violences un peu partout où l’on cultive la drogue ou la barbe plus que les citoyens et citoyennes ; à l’annonce par l’inoxydable Borloo d’un nouveau-nouveau centre secrétariagénéralisé par l’excellent Jego dont le rapport sur le made in France était aussi attendu que cette promotion méritée, soutenu par l’inoubliable Morin dont on attend avec impatience les voeux dans une nouvelle cuisine cette année, avec un shadow-cabinet comme le Modem de la grande époque mais sans Bayrou à preuve du contraire, ce qui est politiquement inévitable mais intellectuellement dommage au grand enjeu pour l’avenir de la France du comptage des parrainages et militants des politiciens de l’UMP qui ont un oeil sur 2017 et l’autre sur leurs rivaux, de la préparation des éléments de langage pour les meetings dans des salles de sport en province par le gars de l’UMP que tout le monde aime bien même s’il a été 5 ans le collaborateur de celui que personne n’aime plus pour l’instant sauf les membres de son club, et par son adversaire que personne n’a jamais beaucoup aimé (c’est comme ça depuis toujours, et ça s’est aggravé pour lui depuis qu’il a dit que c’était médiocre d’ambitionner de ne gagner que 5000 Euros par mois dans un pays où tout le monde qui n’est pas exilé fiscal est fonctionnaire à 2 ou 3000 Euros par mois sauf les lauréats des concours de haut-ponctionnaires, chômiste ou assisté social ou rien du tout à pas grand chose mensuel après 1 ou 2 ans de vaches pas encore trop maigres, sauf à truander, ou salarié ou petit entrepreneur qui bosse comme un fou pour bien moins que 5000 net d’impôts avec la peur au ventre du plan social ou de l’éjection pour cause de force majeure du DG ou du DRH ou de tsunami plus ou moins global ou de réforme du système des retraites et toussa-touça), et la montée des compteurs de followers sur Twitter pour les ex-ministres, ex-députés et ex-autchoz de l’UMP.

Renaud Favier, 18 septembre 2012.

Ceci écrit, qu’on soit militant du mariage pour tous, supporter du vote pour tous, amateur d’arbres qui cachent les forêts, juste normalement sympathique ou sympathisant de tel ou tel courant du gouvernement, amateur de course aux parrainages, buveur de thé ou de café, ou pas, on peut télécharger sur Amazon quelques eBooks sur le monde tel qu’il va (ou pas) vraiment, pour se préparer avec humour mais sérieux à la France, à l’Europe et au monde tels qu’ils approchent à vitesse encore un peu plus déraisonnable qu’une joli coupé RCZ ou une Alpine à pleine bourre sur circuit à quelques semaines du salon de l’Automobile de la Porte de Versailles (avant, on disait « Mondial », mais c’était avant que ceux de Shanghaï, de Séoul, de Sao Paulo et bientôt Varsovie, Prague et Istambul aient gagné la bataille de l’automobile dans la guerre économique et qu’on parle de le délocaliser au Maroc, maintenant que la France est officiellement en crise et qu’on ne voudrait pas imposer des heures sup aux douaniers de Roissy ou aux fonctionnaires du STIF/RATP déjà obligés de lire tous les compte-rendu du dialogue social dans leur administration, de participer à des séminaires d’information sur la vie après les plan sociaux et les contrats de générations, et de perdre du temps à remplir les formulaires de RTT en 3 exemplaires parce qu’il n’y a plus de budget pour remplacer l’imprimante en obsolescence pré-programmée pour laquelle on avait acheté 5 ans de stock de toner d’avance via un intermédiaire qui avait des fournisseurs en Belgique mais qui ne reprend bien sûr pas la marchandise incompatible avec l’imprimante qu’on achètera quand in y aura des crédits) depuis que l’écologisme globalement responsable s’est noyé à Copenhague, qu’une certaine idée de la politique française n’est pas sortie blanche comme neige de 40 ans de hautes certitudes inefficaces de la suite d’un certain Sofitel, et qu’il a fallu accélérer la dérive des dettes publiques des Clubs-Meds à cause des subprimes et de quelques autres incongruités financières d’origine principalement anglo-saxonnes et fantaisies budgétaires à la française, et se faire une (dé)raison de contreperformances commerciales d’origine pas seulement chinoise ou allemande, et que la politique d’achat de temps contre la crise approche dangereusement de ses limites avec ou sans QE3 aux USA, MES ou MOT en Europe, les dignes vieux de Karlsruhe, les djeuns indignés d’Athènes ou Madrid et toussa-touça kivapa vraiment plus du tout d’autant que le feu semble avoir pris plus au sud dans la foulée des révolutions de jasmin dont toutes les bienpensances se félicitaient pourtant avec autant d’enthousiasme qu’elles se laissaient inviter en vacances et/ou avion par les prédécesseurs des incendiaires. Mais what else ? Comme le dit Saint Woody Allen : “Je hais la réalité, mais où ailleurs se faire servir un bon steak ?”.

    

On peut également lire ou télécharger ces eBooks sur la plateforme française Youscribe (nb le format pdf disponible sur Youscribe est assez pratique sur grand écran et mieux adapté que ePub à l’impression en format A4) en cliquant sur les icônes ci-dessous avec le mulot.

               
               
         
           
        
       

Whatever works, mais si on a du 3G ou du wifi, on peut aussi lire (gratuitement) le dernier billet du blog “Café du matin à Paris” (ou un résumé en anglais si on est anglophone et/ou pas trop chauvin) avec le café à n’importe quel bout du monde, cela ne peut pas nuire plus gravement que tout les restes aux exportations sans entrepreneurs, à la réindustrialisation sans capital ou au made in France sans clients.

Mais on peut préférer acheter ses livres sur les étagères d’un bon libraire, dans un café librairie sympa ou entre les aspirateurs automatiques et les cafetières d’un agitateur d’idées un peu rangé des voitures mais auquel on est habitué et dont on prend toujours la carte de fidélité par habitude, ou vice-versa.

Auquel cas, la reco de la rentrée “littéraire” : “La théorie de l’information“, un genre de “western financier” à clefs (lire : sur les corsaires français des télécoms, nb pour éviter tout malentendu que la formule, citée ci-dessous, qui fait sourire les auditeurs des radio-business-fm, vise quelqu’un d’autre que DSK qui a bien dû s’occuper de télécoms françaies dans sa carrière ministérielle mais n’est pas dans ce “coup”, les puristes auront bien entendu rectifié d’eux-mêmes car ni son Audi à Washington, ni la Porsche de son communicant à Paris, ni probablement son véhicule à Marrakech où il fait trop chaud pour circuler sans capote, ne sont des décapotables, étant entendu que DSK lui-même n’est pas un pornocrate, si on ne l’écrivait pas on risquerait un malentendu, mais est indubitablement un peu chaleureux pour circuler à l’étranger sans capote) du jeune Aurélien Bellanger, chez Gallimard, ravira les vieux qui lisaient non pas des romans d’amour mais du Sulitzer et du Dumas dans leur jeunesse, avec des trouvailles comme ” … les pornocrates en cabriolet …” (lire : “les gusses, devenus maintenant très fréquentables parce que très riches et puissants, qui avaient fait un hold-up sur le plancalculo-télécom à la françaises en inventant le “Minitel rose” sans opposition des politiques bien avant que les pirates en Rolls roses prospèrent sur Internet sous les “vivas” des djeuns #occupy et les sourcils froncés des ingénieurs télécom à la française occupés à suivre les cours de bourse d’Alcatel et France Télécom, l’honnêteté intellectuelle obligeant à signaler à leur décharge que des ingénieurs des mines et des ponts se sont également mêlés de ces triomphes monopoli(s)tiques à la française sous le haut patronage de l’administration et des politiques (in)compétents, et que ce n’est pas leur faute si les ingénieurs français qui savaient compter ont tous préféré aller dans la banque, les cabinets ministériels et/ou, pour les plus conservateurs, les fromages résiduels du bon vieux temps de l’économie mixte genre Tunnel du Mont Blanc, Française des Jeux, EDF, feu l’industrie automobile, sidérurgie ou du transport aérien etc encore moins verts et/ou plus, voire trop mûrs souvent …).

Sinon, côté littérature économique, les usual suspects de l’exploitation, explication ou futurologie de la crise vont probablement publier pour Toussaint afin de surfer sur la vague de morosité de début novembre, tandis que les vendeurs de Trente Glorieuses devant nous, de bilan et perspectives du gouvernement ou de France se renforçant dans l’adversité attendront certainement la saison des achats de cadeaux de Noël pour profiter du regain de bonne humeur des (é)lecteurs devant les jolies vitrines, les étals tentants et les décorations festives. Il n’en reste pas quelques écrits recommandables comme “Homo Economicus” de Daniel Cohen, qui vole un titre mais écrit très honnêtement et opportunément sur la bipolarité de l’être humain occidental compétiteur et coopérateur à la fois, en crise grave depuis que le mot coopétition inventé à peu près au même moment que partenariat public-privé et junk-bonds est à peu près aussi has-been que l’économie mixte et les coopératives ouvrières du temps de Mongénéral, sauf dans les conversations d’après digestif dans certains milieux privilégiés restés politiquement au début des très progressistes mais non viables années 80, économiquement au début des très psychédéliques mais ultra-confortables années 70, et intellectuellement à la fin des très regrettées mais über-déstabilisantes roaring sixties.

Enfin, côté littérature érotique pour filles, on murmure dans le landerneau que l’anglais dela version originale est tellement simpliste qu’il ne sert vraiment à rien d’attendre la sortie prévue en octobre (en France, Lattès, 17 octobre) de la version en français de l’incontournable “Fifty Shades of Grey” (et que c’est une excellente raison d’acheter un truc électronique pour lire dans le métro (ou d’apprendre à télécharger en pdf sur iPhone, iPad ou n’importe quel machin électronique moderne portable, ou pas) pour éviter que les voisins, collègues, enfants, parents et autres impedimenta sachent qu’on mange lit du cochon en cachette comme tout le monde qui a du temps à perdre et de la libido à dissiper mais un(e) conjoint(e) moins disponible que DSK dans les années de jeunesse, et plus assez d’énergie, d’audace ou de méthode pour sortir draguer).

Conclusion provisoire : cliquer sur l’image ci-dessous

Passage au blog “Compétitivité” : cliquer sur l’image ci-dessous

Passage au blog “Voyage en 2012” : cliquer sur l’image ci-dessous

Passage au blog “France 2012” : cliquer sur l’image ci-dessous

Passage au blog “English Coffee” : cliquer sur l’image ci-dessous

Passage au blog “Café du matin à Paris” : cliquer sur l’image ci-dessous

Avatar de Inconnu

About renaudfavier

Ils semblent grands car nous sommes à genoux (LaBoétie) Je hais la réalité, mais c'est le seul endroit où se faire servir un bon steak (Woody) De quoi qu'il s'agisse, je suis contre (Groucho) Faire face (Guynemer)
Cet article, publié dans Actualité, Humour, Politique, est tagué , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , . Ajoutez ce permalien à vos favoris.

Laisser un commentaire