Mitterrand disait, faisant preuve d’autant de diplomatie que Hollande traitant les pauvres de « sans dents », que de sens de l’Histoire que le président provisoire de notre République hésitant à punir la Syrie entre la libération de la bibliothèque de Tombouctou, la sécurisation du marché de Bangui, et la confiscation du bateau de Poutine, qu’il aimait tellement l’Allemagne, qu’il préférait qu’il y en ait deux.
Moi, quand j’arrive à sourire entre un grincement de dents pour la France sabotée par la génération Mitterrand, avant en culottes courtes et chaussures italiennes sur mesure dans les limousines allemandes trop grandes pour eux, maintenant en costard mal taillés sur leurs scooters avec chauffeurs, et un rictus pour les Français dont l’Histoire dira qu’ils ont eu ceux qu’ils méritaient pour avoir coupé les têtes ou transformé en fonctionnaires ceux qui ne voulaient pas travailler, et forcé à chômer ou émigrer ceux qui auraient pu ou voulu entreprendre et faire au moins avancer le pays dans un monde où tous les autres couraient, je me dis qu’à tout prendre, après le bouquin de Cécile sur ses deux ans de cohabitation avec Hollande et sa bande, puis celui de Valérie sur ses dix ans avec Hollande et sa famille d’avant, j’aimerais que Ségolène, Anne, Julie, ou n’importe laquelle (ou lequel, il n’y a plus de mal à ça, maintenant) de celles qu’on ne connait pas (encore), et dont on voudrait croire qu’elles furent moins nombreuses, ou au moins plus gratuites, que les glorieuses conquêtes de celui dont il a pris la place promise grâce à une femme de ménage de New-York, donne le coup de grâce en (d)écrivant les restes de la pathétique histoire de ce sale petit bonhomme tombé dans la crème de la crème grâce à un diplôme gagné à 20 ans parce que ses parents avaient pu sinon lui offrir les clefs de la réussite à la française, lui montrer le chemin et le guider vers le parchemin plaqué or grâce auquel n’importe quel sale petit bonhomme pouvait devenir stagiaire ena et finir stagiaire ena à l’Elysée sans même jamais avoir travaillé pour cela, juste eu la chance de naître dans une bonne famille, de faire ses études en un temps où n’importe quelle bête à concours administratifs bien élevée entrait à HEC sans savoir compter et à l’ena sans savoir écrire, juste à l’oral (honni qui rajouterait une couche de crème fouettée en pensant trop fort ce à quoi n’importe qui de « normal », ou pas, pense ici et maintenant) à une époque tellement médiocre que la France s’offrait à n’importe quel Rastignac, et de ramasser les habits vénéneux du socialisme tartuffe après que celui-ci ait éteint ses lumières blafardes chez les Soviets.
J’espère qu’il y en a d’autres, même si ça fait mal, que la France soit tombée si bas.
Renaud Favier – 4 septembre 2014
PS : on n’a vraiment pas gagné au changement de François … http://www.youtube.com/watch?v=fW04CpjJhk4




Personnellement je suis juste morte de rire (je sais c’est mal) de voir ce déballage médiatique, ces règlements de compte (Capone doit se retourner dans sa tombe) à coups de touitte ou de face-de-bouc ! Mais en même temps, je me dis que peut être enfin les ciné et séries françaises vont peut être enfin rivaliser avec les séries US comme récemment Scandal (où d’ailleurs un petit pic est balancé dans une phrase sur le fait que tromper sa femme en étant le président, y’a qu’en France que ça peut se faire)….
En tout cas, tout ça c’est pas mal, ça cache tout le reste, ce que personne n’ose dire…
On avait les Secret Story et autre Loft Connerie et bah maintenant on a notre Secret Elysée Story !