De Gaulle sentait, ses jours de bourdon, que diriger la France, ses centaines de fromages (honni qui « républicains » fort y pense, ou tant d’autres plus ou moins authentiques trop lucidement en compte), ses milliers de (pots de) vins, et ses millions de veaux, était son destin.
Mais c’était (bien) avant, en un temps où rien n’était impossible (le mot n’était d’ailleurs pas français, puisqu’il s’agit d’une mauvaise adaptation de « I’m possible ») aux coeurs vaillants …
C’était en un temps où la grandeur de la France ne se mesurait pas dans des instituts de sondages …
Maintenant, le vieux stagiaire Ena Hollande et le jeune retraité Sarkozy se disputent aux enchères le gouvernail de ce qu’il reste de (paquebot) France (honni qui pédalo repense). Pas besoin d’être devin pour voir (Paris de)venir la foire aux vains (honni qui « aux nains » y pense).
Point n’est besoin d’avoir autant de nez (creux ?) que Mongénéral pour sentir que l’époque a beau n’être plus au lait cru (aux laids crus sur parole ?), la prolifération de v(il)ains petits politiciens comme des bactéries sur un roquefort n’apporte rien de bon au vieux pays des (pot de) grands vins.
Honni qui « Jeux (politiques) de v(il)ains (nains), jeux de vilains (nains) politiciens » y pense …
Renaud Favier – 20 septembre 2014
L’ambition personnelle délirante de vils, vains, vilains nains politiciens, fussent-ils petits hauts fonctionnaires, Tanguy français moyens, ou Gaulois normaux plus ou moins bas de plafond, ça a un nom (non ?). http://www.youtube.com/watch?v=5grigo7ftl0
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