Je ne dis pas qu’il suffit de souhaiter « que du bonheur » pour que celui-ci arrive en courant et s’installe pour longtemps, voire toute l’année, sinon toujours, parce que ce serait aussi niais que souhaiter « bon appétit » à des convives gras comme des politiciens surnourris par des lobbyistes sur note de frais et militants défiscalisés, aussi tartuffe que souhaiter « bonne santé » à des biobos déjà ivres d’apéritifs importés comme des invités sortant d’un cocktail caviar-vodka du ministère de la culture, ou « bonne route » à un abruti confondant l’accélérateur de son TDi avec sa zapette (honni qui « zigounette » y pense, la « zapette » est la télécommande de TV en langage téléspectélecteur d’avant Youtube et Netflix, pas un sextoy pour conducteur de diesel).
Je dis Bonne Année 2016, avec autant de bonheur(s) que possible, en le souhaitant sincèrement à mes proches, ami(e)s, connaissances et à tous les lecteurs (du bulbe ramolli qui « électeurs » y pense, d’autant qu’il n’y a pas d’élections cette année de toute façon) de ce billet.
Reno – 28 décembre 2015

Le bonheur, c’est pas très compliqué …


