Comme on est en tarif « week-end » pour tout le monde qui s’occupe de régler la crise bancaire espagnole (par ailleurs techniquement aussi classique qu’une guitare espagnole) et d’empêcher que le grabuge ne devienne insupportable, le mieux serait de trouver un accord.
On n’est plus à 100 milliards d’Euros près. Et puis un accord maintenant, ça permettrait de lire tranquillement un eBook de son choix sur les changements en cours un peu partout plutôt que de s’angoisser à calculer le nombre de vitesses de l’Europe en tarif de nuit.
RF 9 juin 2012









